Iran : le pouvoir appelle à supprimer WhatsApp, accusé d’espionnage pour Israël
L’Iran frappe fort : le pouvoir appelle la population à supprimer WhatsApp, accusant l’appli d’espionnage au profit d’Israël. Une nouvelle bataille numérique en plein climat de tensions au Moyen-Orient.
Depuis quelques jours, les autorités iraniennes multiplient les messages à la télé et sur les réseaux : “Supprimez WhatsApp !” Selon Téhéran, l’application de messagerie la plus populaire du pays collecterait des infos sensibles qui finiraient dans les mains d’Israël. L’accusation est grave, et s’inscrit dans un contexte où la méfiance envers les grandes applis étrangères explose.
En Iran, WhatsApp est partout : c’est le canal préféré pour discuter, bosser, partager des memes ou suivre les actus, un peu comme WhatsApp ou Telegram au Maroc. Mais avec cette annonce, beaucoup d’Iraniens hésitent : continuer à chatter ou protéger leurs données ?
Le gouvernement pousse même des alternatives locales, mais la confiance n’est pas vraiment au rendez-vous. Résultat : le débat fait rage entre ceux qui suppriment, ceux qui résistent, et ceux qui cherchent des applis alternatives plus “safe”.
Ce n’est pas juste une histoire d’appli : c’est un vrai bras de fer géopolitique. L’Iran veut contrôler l’info et limiter l’influence étrangère, surtout quand il s’agit d’Israël, son ennemi juré. Pour les Marocains, ça rappelle les débats sur la protection des données et la souveraineté numérique : qui contrôle nos infos ? Peut-on vraiment faire confiance aux applis étrangères ?
C’est aussi un signal pour tous les jeunes connectés : la guerre aujourd’hui n’est plus que militaire, elle est aussi digitale, sur nos téléphones, nos applis, nos réseaux.
Sur X (ex-Twitter) et Insta, les Iraniens sont partagés : certains suppriment WhatsApp par peur ou par patriotisme, d’autres dénoncent une nouvelle tentative de censure du régime. Les influenceurs tech ironisent : “Après WhatsApp, on supprime quoi ? Google ? Internet ?”. Du côté israélien, on nie en bloc et on accuse l’Iran de paranoïa.
Dans les cafés de Téhéran, ça discute sec : “On va finir par revenir aux pigeons voyageurs !”, plaisante un étudiant. Mais l’ambiance est tendue : tout le monde sent que la liberté numérique est en jeu.
L’affaire WhatsApp en Iran, c’est un nouvel épisode de la guerre invisible entre États. Mais au final, ce sont les citoyens qui trinquent, entre surveillance, censure et parano. Et toi, tu ferais quoi si on te demandait de supprimer WhatsApp au Maroc ?
Depuis quelques jours, les autorités iraniennes multiplient les messages à la télé et sur les réseaux : “Supprimez WhatsApp !” Selon Téhéran, l’application de messagerie la plus populaire du pays collecterait des infos sensibles qui finiraient dans les mains d’Israël. L’accusation est grave, et s’inscrit dans un contexte où la méfiance envers les grandes applis étrangères explose.
En Iran, WhatsApp est partout : c’est le canal préféré pour discuter, bosser, partager des memes ou suivre les actus, un peu comme WhatsApp ou Telegram au Maroc. Mais avec cette annonce, beaucoup d’Iraniens hésitent : continuer à chatter ou protéger leurs données ?
Le gouvernement pousse même des alternatives locales, mais la confiance n’est pas vraiment au rendez-vous. Résultat : le débat fait rage entre ceux qui suppriment, ceux qui résistent, et ceux qui cherchent des applis alternatives plus “safe”.
Ce n’est pas juste une histoire d’appli : c’est un vrai bras de fer géopolitique. L’Iran veut contrôler l’info et limiter l’influence étrangère, surtout quand il s’agit d’Israël, son ennemi juré. Pour les Marocains, ça rappelle les débats sur la protection des données et la souveraineté numérique : qui contrôle nos infos ? Peut-on vraiment faire confiance aux applis étrangères ?
C’est aussi un signal pour tous les jeunes connectés : la guerre aujourd’hui n’est plus que militaire, elle est aussi digitale, sur nos téléphones, nos applis, nos réseaux.
Sur X (ex-Twitter) et Insta, les Iraniens sont partagés : certains suppriment WhatsApp par peur ou par patriotisme, d’autres dénoncent une nouvelle tentative de censure du régime. Les influenceurs tech ironisent : “Après WhatsApp, on supprime quoi ? Google ? Internet ?”. Du côté israélien, on nie en bloc et on accuse l’Iran de paranoïa.
Dans les cafés de Téhéran, ça discute sec : “On va finir par revenir aux pigeons voyageurs !”, plaisante un étudiant. Mais l’ambiance est tendue : tout le monde sent que la liberté numérique est en jeu.
L’affaire WhatsApp en Iran, c’est un nouvel épisode de la guerre invisible entre États. Mais au final, ce sont les citoyens qui trinquent, entre surveillance, censure et parano. Et toi, tu ferais quoi si on te demandait de supprimer WhatsApp au Maroc ?