Un tribunal argentin a décidé, le 3 janvier, de suspendre les modifications apportées par décret, en décembre 2023, au code du travail par le président nouvellement élu, Javier Milei.

C’est un revers judiciaire sévère pour le président Milei, chantre de la déréglementation et de l’austérité, qui avait augmenté la période d’essai de 3 à 8 mois et réduit les indemnités de licenciement. Ces mesures ont poussé le principal syndicat du pays, la Confédération générale du travail, a intenté un procès en justice.