Zelensky a remis un plan de paix à Trump avec des concessions majeures , alors que le locataire de la Maison Blanche qui ne veut plus « perdre de temps » sur l’Ukraine ! Las des pourparlers, le président des États-Unis a indiqué qu’il n’était pas sûr de participer à une réunion des dirigeants européens ce week-end.
Donald Trump en remet une couche sur l’Europe après la publication de la nouvelle stratégie de sécurité , un document stratégique dévoilé par la Maison Blanche fait frémir les Européens.
guerre en Ukraine : Donald Trump « extrêmement frustré » par Moscou et Kiev, selon la Maison Blanche
Cette concession figure dans
Las des réunions et « extrêmement frustré » par Moscou et Kiev, selon la Maison Blanche , le président américain met de nouveau un coup de pression.
L’Ukraine a remis ce mercredi 10 décembre aux États-Unis sa version mise à jour du plan de paix visant à mettre fin à la guerre avec la Russie, au moment où Donald Trump disait son impatience face à Kiev et aux Européens.
Cette dernière version « tient compte de la vision ukrainienne, c’est une proposition plus poussée pour une solution adéquate à des questions problématiques », a indiqué un responsable ukrainien à l’AFP. « Nous ne divulguons pas les détails en attendant la réaction de la partie américaine », a ajouté ce responsable.
Zelensky, pressé par Trump, est « prêt » pour des élections, mais demande l’aide de Washington
La proposition américaine initiale prévoyait notamment de céder à la Russie des territoires ukrainiens qu’elle n’a pas encore conquis, et a été jugée par Kiev et ses alliés européens comme particulièrement favorable à Moscou.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a confirmé que le plan avait été divisé en trois documents : un accord-cadre en 20 points, un document sur la question des garanties de sécurité et un autre sur la reconstruction de l’Ukraine après la guerre.
Pendant ce temps, Donald Trump trépigne d’impatience et le fait savoir. Après un entretien au téléphone avec Emmanuel Macron, le Premier ministre britannique Keir Starmer et le chancelier allemand Friedrich Merz, le président américain a mis un nouveau coup de pression sur l’Ukraine et ses principaux alliés.
Le locataire du Bureau ovale a d’ailleurs fait savoir qu’il avait eu des « mots assez forts » à leur encontre lors de cet appel.Affirmant sans langue de bois qu’il ne voulait « pas perdre de temps », Donald Trump a aussi déclaré qu’il n’était pas sûr de se rendre à une réunion sur l’Ukraine organisée ce week-end par les dirigeants européens.
« Avant d’aller à une réunion, il y a des choses que nous voulons savoir », a-t-il déclaré à la Maison Blanche. « Parfois il faut laisser les gens se battre jusqu’au bout, et parfois pas », a-t-il ajouté. Une phrase très ambiguë laissant transparaître son indécision.
Donald Trump a laissé percer plusieurs fois son impatience face au président Zelensky, auquel il a reproché récemment de ne pas avoir lu la proposition américaine de plan de paix.Tandis que le républicain veut donner un coup d’accélérateur au dossier ukrainien, une nouvelle réunion de la « coalition des volontaires », co-présidée par Paris et Londres et qui rassemble des soutiens de Kiev, se tiendra jeudi.
L’objectif : avancer sur les « garanties de sécurité » pour l’Ukraine, a indiqué la porte-parole du gouvernement français
Donald Trump en remet une couche sur l’Europe après la publication de la nouvelle stratégie de sécurité , un document stratégique dévoilé par la Maison Blanche fait frémir les Européens.
guerre en Ukraine : Donald Trump « extrêmement frustré » par Moscou et Kiev, selon la Maison Blanche
Cette concession figure dans
Las des réunions et « extrêmement frustré » par Moscou et Kiev, selon la Maison Blanche , le président américain met de nouveau un coup de pression.
L’Ukraine a remis ce mercredi 10 décembre aux États-Unis sa version mise à jour du plan de paix visant à mettre fin à la guerre avec la Russie, au moment où Donald Trump disait son impatience face à Kiev et aux Européens.
Cette dernière version « tient compte de la vision ukrainienne, c’est une proposition plus poussée pour une solution adéquate à des questions problématiques », a indiqué un responsable ukrainien à l’AFP. « Nous ne divulguons pas les détails en attendant la réaction de la partie américaine », a ajouté ce responsable.
Zelensky, pressé par Trump, est « prêt » pour des élections, mais demande l’aide de Washington
La proposition américaine initiale prévoyait notamment de céder à la Russie des territoires ukrainiens qu’elle n’a pas encore conquis, et a été jugée par Kiev et ses alliés européens comme particulièrement favorable à Moscou.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a confirmé que le plan avait été divisé en trois documents : un accord-cadre en 20 points, un document sur la question des garanties de sécurité et un autre sur la reconstruction de l’Ukraine après la guerre.
Pendant ce temps, Donald Trump trépigne d’impatience et le fait savoir. Après un entretien au téléphone avec Emmanuel Macron, le Premier ministre britannique Keir Starmer et le chancelier allemand Friedrich Merz, le président américain a mis un nouveau coup de pression sur l’Ukraine et ses principaux alliés.
Le locataire du Bureau ovale a d’ailleurs fait savoir qu’il avait eu des « mots assez forts » à leur encontre lors de cet appel.Affirmant sans langue de bois qu’il ne voulait « pas perdre de temps », Donald Trump a aussi déclaré qu’il n’était pas sûr de se rendre à une réunion sur l’Ukraine organisée ce week-end par les dirigeants européens.
« Avant d’aller à une réunion, il y a des choses que nous voulons savoir », a-t-il déclaré à la Maison Blanche. « Parfois il faut laisser les gens se battre jusqu’au bout, et parfois pas », a-t-il ajouté. Une phrase très ambiguë laissant transparaître son indécision.
Donald Trump a laissé percer plusieurs fois son impatience face au président Zelensky, auquel il a reproché récemment de ne pas avoir lu la proposition américaine de plan de paix.Tandis que le républicain veut donner un coup d’accélérateur au dossier ukrainien, une nouvelle réunion de la « coalition des volontaires », co-présidée par Paris et Londres et qui rassemble des soutiens de Kiev, se tiendra jeudi.
L’objectif : avancer sur les « garanties de sécurité » pour l’Ukraine, a indiqué la porte-parole du gouvernement français
L’Ukraine est prête à envisager une zone démilitarisée dans le Donbass, une concession majeure pour mettre fin à la guerre
L’Ukraine est prête à envisager une zone démilitarisée dans le Donbass, une concession majeure pour mettre fin à la guerre Le conseiller de Volodymyr Zelensky, Mykhaïlo Podoliak dit que cette zone imposerait un recul des forces ukrainiennes et russes des deux côtés de la ligne de front.
Le président ukrainien a déclaré, jeudi, que toute cession de ces régions devrait être validée soit par une « élection », soit par un « référendum ». Kiev cède ainsi sur l’un des points majeurs des négociations menées avec les Etats-Unis et la Russie en acceptant la mise en place d’une zone démilitarisée dans le Donbass. Un renoncement avalisé par l’Europe pour mettre fin à près de quatre ans de guerre.
Le regard baissé et la voix blanche, le chancelier allemand, Friedrich Merz, l’a bien admis, jeudi 11 décembre : l’Ukraine est désormais « prête » à accepter des concessions territoriales.
Cette concession figure dans le « plan de paix » américain remanié par le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qui a été transmis à Donald Trump dans la soirée de mercredi. Emmanuel Macron, le premier ministre britannique, Keir Starmer et le chancelier allemand ont participé à la rédaction de cette « proposition », a reconnu Friedrich Merz.
Cette zone démilitarisée imposerait, dans l’esprit de Kiev, un recul des forces ukrainiennes et russes des deux côtés de la ligne de front actuelle, dans le Donbass. Cette région stratégique, bassin minier que convoite la Russie depuis 2014, pourrait basculer sous la supervision d’une force internationale, incluant les Etats-Unis, pour empêcher toute nouvelle agression russe
Avec AFP
Le président ukrainien a déclaré, jeudi, que toute cession de ces régions devrait être validée soit par une « élection », soit par un « référendum ». Kiev cède ainsi sur l’un des points majeurs des négociations menées avec les Etats-Unis et la Russie en acceptant la mise en place d’une zone démilitarisée dans le Donbass. Un renoncement avalisé par l’Europe pour mettre fin à près de quatre ans de guerre.
Le regard baissé et la voix blanche, le chancelier allemand, Friedrich Merz, l’a bien admis, jeudi 11 décembre : l’Ukraine est désormais « prête » à accepter des concessions territoriales.
Cette concession figure dans le « plan de paix » américain remanié par le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qui a été transmis à Donald Trump dans la soirée de mercredi. Emmanuel Macron, le premier ministre britannique, Keir Starmer et le chancelier allemand ont participé à la rédaction de cette « proposition », a reconnu Friedrich Merz.
Cette zone démilitarisée imposerait, dans l’esprit de Kiev, un recul des forces ukrainiennes et russes des deux côtés de la ligne de front actuelle, dans le Donbass. Cette région stratégique, bassin minier que convoite la Russie depuis 2014, pourrait basculer sous la supervision d’une force internationale, incluant les Etats-Unis, pour empêcher toute nouvelle agression russe
Avec AFP












L'accueil


















