Une redécouverte de l'œuvre de Mohamed Hamidi
La Villa Carl Ficke, musée de la mémoire de Casablanca, accueille, du 3 décembre 2025 au 25 mars 2026, une exposition consacrée à Mohamed Hamidi, invitant le public à redécouvrir l'intensité et la singularité de ses créations. Artiste d'une richesse foisonnante, Hamidi a marqué l'histoire de l'art moderne marocain par son approche audacieuse et novatrice.
Membre fondateur de l’École de Casablanca, il a su intégrer l’artisanat traditionnel, l’architecture islamique et les symboles amazighs et africains pour créer une écriture plastique unique. Bien qu'il ait maintenu un lien avec la figuration, une grande partie de son travail évolue vers l’abstraction et le symbolisme, transformant les motifs traditionnels en un langage universel.
Un parcours artistique riche et engagé
Né à Casablanca en 1941, Hamidi fait partie de la première génération d’artistes marocains post-protectorat et a fréquenté l’École des Beaux-Arts de Casablanca dès 1956. Sa formation s'est poursuivie à Paris, notamment à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts.
De 1967 à 1975, il a enseigné à l’École des Beaux-Arts de Casablanca, contribuant à forger une nouvelle esthétique plastique aux côtés de figures emblématiques comme Farid Belkahia et Mohamed Melehi. Ensemble, ils ont lancé le Mouvement de l’École de Casablanca, cherchant à rapprocher l'art du public, comme en témoigne l'exposition-manifeste de 1969 à Jemaa El Fna à Marrakech.
Au cours de sa carrière, Hamidi a multiplié les expositions au Maroc et à l'étranger, sa consécration internationale étant marquée par l'intégration de deux de ses œuvres dans les collections du Centre Pompidou à Paris en 2019.
Mohamed Hamidi s’est éteint le 6 octobre 2025 à l’âge de 84 ans, laissant derrière lui un héritage artistique d’une grande richesse, que cette exposition se propose de célébrer. La Fondation Nationale des Musées réaffirme ainsi son engagement envers la valorisation de la création marocaine, en accordant une place importante à l'œuvre de cet artiste dans la programmation culturelle de ses musées.
Membre fondateur de l’École de Casablanca, il a su intégrer l’artisanat traditionnel, l’architecture islamique et les symboles amazighs et africains pour créer une écriture plastique unique. Bien qu'il ait maintenu un lien avec la figuration, une grande partie de son travail évolue vers l’abstraction et le symbolisme, transformant les motifs traditionnels en un langage universel.
Un parcours artistique riche et engagé
Né à Casablanca en 1941, Hamidi fait partie de la première génération d’artistes marocains post-protectorat et a fréquenté l’École des Beaux-Arts de Casablanca dès 1956. Sa formation s'est poursuivie à Paris, notamment à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts.
De 1967 à 1975, il a enseigné à l’École des Beaux-Arts de Casablanca, contribuant à forger une nouvelle esthétique plastique aux côtés de figures emblématiques comme Farid Belkahia et Mohamed Melehi. Ensemble, ils ont lancé le Mouvement de l’École de Casablanca, cherchant à rapprocher l'art du public, comme en témoigne l'exposition-manifeste de 1969 à Jemaa El Fna à Marrakech.
Au cours de sa carrière, Hamidi a multiplié les expositions au Maroc et à l'étranger, sa consécration internationale étant marquée par l'intégration de deux de ses œuvres dans les collections du Centre Pompidou à Paris en 2019.
Mohamed Hamidi s’est éteint le 6 octobre 2025 à l’âge de 84 ans, laissant derrière lui un héritage artistique d’une grande richesse, que cette exposition se propose de célébrer. La Fondation Nationale des Musées réaffirme ainsi son engagement envers la valorisation de la création marocaine, en accordant une place importante à l'œuvre de cet artiste dans la programmation culturelle de ses musées.












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