Tout en prenant compte et en appréciant à sa juste valeur, l'intérêt qu'a pu susciter la dernière note à propos du PLF 2026 dans l'espace médiatique et politique, l'Alliance tient à préciser les éléments d'information sur sa méthodologie de travail suivants :
Si quelqu’un pense une seule minute que le bureau de l'alliance des économistes Istiqlaliens, puisse valider une note économique destinée à une publication publique sans disposer en annexe des chiffrages précis et des simulations macroéconomiques élaborées selon le modèle d’équilibre général, c’est qu’il connaît mal l’Alliance, mal les cadres du parti de l'Istiqlal.
L’Alliance ne se contente jamais de produire des orientations générales ou des slogans politiques. Ses propositions, qu’il s’agisse de fiscalité, de soutien à la classe moyenne, de ciblage social via le Registre social unifié, ou encore de consolidation du cheptel bovin pour stabiliser les prix alimentaires, reposent sur une lecture systématique de leurs impacts budgétaires et macroéconomiques
Affirmer l’inverse reviendrait à ignorer le fonctionnement même de cette instance : ses notes internes, adressées au COMEX ou aux groupes parlementaires du parti, intègrent toujours le double volet qualitatif et quantitatif, car sans ce travail rigoureux de simulation, aucune validation économique ni politique n’est envisageable.
Certes, certains commentateurs extérieurs (journalistes de bonne foi, certainement) ont pointé un déficit de chiffrage apparent dans la note rendue publique. Mais confondre ce qui est communiqué à l’opinion avec ce qui est transmis et discutée dans les cercles de décision est une erreur d’appréciation. L’Alliance n’a jamais été une boîte à slogans, et Ssi Mazouz, président de l'AEI, encore moins un dirigeant prêt à apposer sa signature sur des mesures dont il ne connaîtrait ni le coût ni la soutenabilité.
En réalité, la méthode est claire : diagnostic macroéconomique, propositions structurées, modélisation des impacts et, seulement ensuite, validation scientifique et enfin validation politique.
Certes, il serait prétentieux de prétendre disposer des moyens techniques et des bases de données du ministère des Finances, du HCP ou de la banque centrale, mais l'alliance compte parmi ses membres assez de cadres expérimentés, d'experts économiques, de professeurs en macroéconomie, d'Inspecteurs de finances, de hauts cadres de la fonction publique et semi-publique pour faire des propositions et les chiffrer de façon responsable et crédible.
C’est cette rigueur qui distingue l’Alliance et explique sa crédibilité dans le débat public. Ceux qui feignent de l’ignorer ne font pas que sous-estimer l’Alliance : ils sous-estiment l’exigence intellectuelle et la prudence stratégique d’un parti qui a toujours su conjuguer ambition économique et sociale et vigilance budgétaire.
Si quelqu’un pense une seule minute que le bureau de l'alliance des économistes Istiqlaliens, puisse valider une note économique destinée à une publication publique sans disposer en annexe des chiffrages précis et des simulations macroéconomiques élaborées selon le modèle d’équilibre général, c’est qu’il connaît mal l’Alliance, mal les cadres du parti de l'Istiqlal.
L’Alliance ne se contente jamais de produire des orientations générales ou des slogans politiques. Ses propositions, qu’il s’agisse de fiscalité, de soutien à la classe moyenne, de ciblage social via le Registre social unifié, ou encore de consolidation du cheptel bovin pour stabiliser les prix alimentaires, reposent sur une lecture systématique de leurs impacts budgétaires et macroéconomiques
Affirmer l’inverse reviendrait à ignorer le fonctionnement même de cette instance : ses notes internes, adressées au COMEX ou aux groupes parlementaires du parti, intègrent toujours le double volet qualitatif et quantitatif, car sans ce travail rigoureux de simulation, aucune validation économique ni politique n’est envisageable.
Certes, certains commentateurs extérieurs (journalistes de bonne foi, certainement) ont pointé un déficit de chiffrage apparent dans la note rendue publique. Mais confondre ce qui est communiqué à l’opinion avec ce qui est transmis et discutée dans les cercles de décision est une erreur d’appréciation. L’Alliance n’a jamais été une boîte à slogans, et Ssi Mazouz, président de l'AEI, encore moins un dirigeant prêt à apposer sa signature sur des mesures dont il ne connaîtrait ni le coût ni la soutenabilité.
En réalité, la méthode est claire : diagnostic macroéconomique, propositions structurées, modélisation des impacts et, seulement ensuite, validation scientifique et enfin validation politique.
Certes, il serait prétentieux de prétendre disposer des moyens techniques et des bases de données du ministère des Finances, du HCP ou de la banque centrale, mais l'alliance compte parmi ses membres assez de cadres expérimentés, d'experts économiques, de professeurs en macroéconomie, d'Inspecteurs de finances, de hauts cadres de la fonction publique et semi-publique pour faire des propositions et les chiffrer de façon responsable et crédible.
C’est cette rigueur qui distingue l’Alliance et explique sa crédibilité dans le débat public. Ceux qui feignent de l’ignorer ne font pas que sous-estimer l’Alliance : ils sous-estiment l’exigence intellectuelle et la prudence stratégique d’un parti qui a toujours su conjuguer ambition économique et sociale et vigilance budgétaire.
Selon l'Alliance des économistes Istiqlaliens
Cette mise au point fait suite à l'article publié chez Telquel et aux declarations de Abdelghani Youmni, économiste, apportant un contrepoint aux propositions de l’AEI.
Mr Youmni reconnaît d’abord un “cadre ambitieux et pragmatique qui dépasse le seul horizon du PLF 2026” ; il estime cependant que plusieurs “angles morts” rendent la feuille de route difficilement opérationnelle. Sont ainsi pointées, de façon répétée, “l’absence d’une évaluation rigoureuse” et le manque de chiffrage des mesures avancées.
Mr Youmni reconnaît d’abord un “cadre ambitieux et pragmatique qui dépasse le seul horizon du PLF 2026” ; il estime cependant que plusieurs “angles morts” rendent la feuille de route difficilement opérationnelle. Sont ainsi pointées, de façon répétée, “l’absence d’une évaluation rigoureuse” et le manque de chiffrage des mesures avancées.
Rappel : AEI fait cet exercice chaque année, que le PI soit à la majorité ou à l’opposition.
L’AEI se réjouit du fait qu’un bon nombre de ses propositions soient prises en considération, soit dans le texte initial du PLF, soit dans les amendements . C’est notre unique objectif en tant que force de proposition agissante












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