Des excuses toutes prêtes pour sa femme
Premier bijou : un script baptisé smack-my-bitch. Dès que l’ingénieur restait connecté au serveur après 21h, le programme envoyait automatiquement un message à son épouse pour lui dire qu’il rentrerait tard. Le motif ? Tiré au hasard dans une liste d’excuses soigneusement préparées.
Trop de fatigue le matin ? Pas de problème
Le script hangover prenait le relais. S’il n’était pas connecté au bureau avant 8h45, un mail partait aussitôt à la direction pour prévenir qu’il était malade ou qu’il travaillerait de chez lui. Là encore, la raison invoquée était générée aléatoirement.
Le collègue maladroit sous surveillance
Autre pépite : kumar-asshole. Sa mission consistait à scruter les mails envoyés par un collègue notoirement gaffeur. À la moindre occurrence de mots comme “aide”, “problème” ou “désolé”, le script répondait poliment : « Pas de souci, fais attention la prochaine fois », puis restaurait automatiquement la dernière sauvegarde de la base de données.
La machine à café… connectée au serveur
Le chef-d’œuvre restait toutefois fucking-coffee. Les employés ignoraient même que la machine à café était reliée au réseau. Le script ouvrait une session Telnet après exactement 17 secondes, commandait un café latte moyen, puis introduisait un délai de 24 secondes supplémentaires. Total : 41 secondes, soit le temps exact que mettait l’ingénieur pour descendre de son bureau jusqu’à la machine. Résultat : le café l’attendait, fumant, pile à son arrivée.
Leçon d’automatisation version humour
Ces découvertes ont transformé l’image de ce développeur en légende interne. Ses scripts ne se contentaient pas de lui épargner du temps, ils ont montré qu’un brin de paresse, associé à beaucoup d’ingéniosité, pouvait donner naissance à des anecdotes technologiques inoubliables.
Trop de fatigue le matin ? Pas de problème
Le script hangover prenait le relais. S’il n’était pas connecté au bureau avant 8h45, un mail partait aussitôt à la direction pour prévenir qu’il était malade ou qu’il travaillerait de chez lui. Là encore, la raison invoquée était générée aléatoirement.
Le collègue maladroit sous surveillance
Autre pépite : kumar-asshole. Sa mission consistait à scruter les mails envoyés par un collègue notoirement gaffeur. À la moindre occurrence de mots comme “aide”, “problème” ou “désolé”, le script répondait poliment : « Pas de souci, fais attention la prochaine fois », puis restaurait automatiquement la dernière sauvegarde de la base de données.
La machine à café… connectée au serveur
Le chef-d’œuvre restait toutefois fucking-coffee. Les employés ignoraient même que la machine à café était reliée au réseau. Le script ouvrait une session Telnet après exactement 17 secondes, commandait un café latte moyen, puis introduisait un délai de 24 secondes supplémentaires. Total : 41 secondes, soit le temps exact que mettait l’ingénieur pour descendre de son bureau jusqu’à la machine. Résultat : le café l’attendait, fumant, pile à son arrivée.
Leçon d’automatisation version humour
Ces découvertes ont transformé l’image de ce développeur en légende interne. Ses scripts ne se contentaient pas de lui épargner du temps, ils ont montré qu’un brin de paresse, associé à beaucoup d’ingéniosité, pouvait donner naissance à des anecdotes technologiques inoubliables.












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