Ce lundi, le Parquet a précisé que «quatre suspects ont été placés en détention préventive, tandis que la cinquième personne, une mineure (Malak), a été présentée au juge des enfants, qui a décidé de son placement dans un centre de protection de l’enfance .
Les charges retenues contre les suspects incluent: «participation à l’outrage d’une institution constitutionnelle; participation à l’outrage d’un corps constitué; diffusion et publication de fausses allégations et de faits mensongers visant à porter atteinte à la vie privée des personnes et à les diffamer, participation à un délit de menace; et outrage à un avocat dans l’exercice de ses fonctions pour l’un des accusés».
L’enquête préliminaire, confiée à la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) à la suite d’une plainte déposée par une femme victime de diffamation et de menaces via son téléphone, a révélé que les suspects ont commis des actes de diffamation, d’insultes, de menaces et d’extorsion d’argent, poursuit le communiqué.
Selon la même source, «l’enquête technique et les expertises réalisées ont également démontré que la mineure impliquée s’était chargée de l’achat et de la mise à disposition des cartes SIM utilisées pour les actes de chantage et de diffamation, en coordination avec le principal suspect, un proche parent, actuellement en fuite à l’étranger».
Le procureur du Roi précise que l’enquête se poursuit et que d’autres personnes sont actuellement placées en garde à vue dans les locaux de la BNPJ à Casablanca, en raison de leur implication présumée dans cette affaire.
Les charges retenues contre les suspects incluent: «participation à l’outrage d’une institution constitutionnelle; participation à l’outrage d’un corps constitué; diffusion et publication de fausses allégations et de faits mensongers visant à porter atteinte à la vie privée des personnes et à les diffamer, participation à un délit de menace; et outrage à un avocat dans l’exercice de ses fonctions pour l’un des accusés».
L’enquête préliminaire, confiée à la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) à la suite d’une plainte déposée par une femme victime de diffamation et de menaces via son téléphone, a révélé que les suspects ont commis des actes de diffamation, d’insultes, de menaces et d’extorsion d’argent, poursuit le communiqué.
Selon la même source, «l’enquête technique et les expertises réalisées ont également démontré que la mineure impliquée s’était chargée de l’achat et de la mise à disposition des cartes SIM utilisées pour les actes de chantage et de diffamation, en coordination avec le principal suspect, un proche parent, actuellement en fuite à l’étranger».
Le procureur du Roi précise que l’enquête se poursuit et que d’autres personnes sont actuellement placées en garde à vue dans les locaux de la BNPJ à Casablanca, en raison de leur implication présumée dans cette affaire.












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