Un contrat pour affiner le plaidoyer international
Le recours à des cabinets de conseil politiques et de lobbying est devenu pratique standard pour les États cherchant à optimiser leur image et défendre des positions sensibles. Le Maroc s’inscrit dans cette dynamique avec un contrat de six mois conclu avec Scribe Strategies & Advisors. Montant ou clauses financières non précisés ici.
Ainsi, la compétition narrative s’intensifie: attractivité économique, dossiers sensibles régionaux, transition énergétique, coopération sécuritaire. Les décideurs cherchent des relais capables de cartographier parties prenantes, anticiper angles médiatiques et calibrer messages ciblés pour législateurs, think tanks, influenceurs.
Scribe (cabinet basé historiquement à Washington) opère sur la stratégie, le positionnement et la construction d’alliances. L’objectif probable: consolider des soutiens sur des sujets diplomatiques, renforcer la participation marocaine à des plateformes internationales (climat, énergie, investissements), et améliorer la lisibilité du récit national (stabilité, hub africain, transition verte).
Pour le Maroc, calibrer sa communication devient crucial face à la concurrence d’autres hubs régionaux (finance, logistique, data). Argumentaire possible: stabilité macroéconomique, projets industriels (automobile, aéronautique), montée des énergies renouvelables, Partenariat vert avec des blocs étrangers.
À l’ère des micro-crises médiatiques (tweets viraux, briefings rapides), disposer d’une architecture réactive d’influence peut réduire les angles morts narratifs et éviter que d’autres acteurs imposent leur cadrage. Ce type de contrat peut aussi professionnaliser les équipes locales en transférant méthodes (segmentation audiences, métriques d’impact, gestion risques réputationnels).
En même temps, la crédibilité passe par la substance: réformes effectives, chiffres vérifiables, transparence institutions. Une narration polie ne compense pas l’absence de résultats. Pour les jeunes observant le soft power, ce cas illustre une tendance: États moyens investissent dans la “diplomatie de précision”.
Ainsi, la compétition narrative s’intensifie: attractivité économique, dossiers sensibles régionaux, transition énergétique, coopération sécuritaire. Les décideurs cherchent des relais capables de cartographier parties prenantes, anticiper angles médiatiques et calibrer messages ciblés pour législateurs, think tanks, influenceurs.
Scribe (cabinet basé historiquement à Washington) opère sur la stratégie, le positionnement et la construction d’alliances. L’objectif probable: consolider des soutiens sur des sujets diplomatiques, renforcer la participation marocaine à des plateformes internationales (climat, énergie, investissements), et améliorer la lisibilité du récit national (stabilité, hub africain, transition verte).
Pour le Maroc, calibrer sa communication devient crucial face à la concurrence d’autres hubs régionaux (finance, logistique, data). Argumentaire possible: stabilité macroéconomique, projets industriels (automobile, aéronautique), montée des énergies renouvelables, Partenariat vert avec des blocs étrangers.
À l’ère des micro-crises médiatiques (tweets viraux, briefings rapides), disposer d’une architecture réactive d’influence peut réduire les angles morts narratifs et éviter que d’autres acteurs imposent leur cadrage. Ce type de contrat peut aussi professionnaliser les équipes locales en transférant méthodes (segmentation audiences, métriques d’impact, gestion risques réputationnels).
En même temps, la crédibilité passe par la substance: réformes effectives, chiffres vérifiables, transparence institutions. Une narration polie ne compense pas l’absence de résultats. Pour les jeunes observant le soft power, ce cas illustre une tendance: États moyens investissent dans la “diplomatie de précision”.












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