L'accueil
Par Ismaïl Mikou
Toutes choses égales par ailleurs, cette notion de finale à deux dans une compétition de nature politique et donc démocratique ne peut plus demeurer en l'état.
On peut en effet tout à fait l'accepter dans un cadre sportif puisque, sauf erreur de ma part, un même match de football par exemple ne peut inclure trois adversaires. Mais dans le cadre d'une élection, cela ne présente aucune contrainte particulière.
Cette question du nombre optimal de candidats retenus en finale ne devrait donc plus être fixée arbitrairement (2, 3, 4, 6), mais adaptée selon les cas. On le fait bien en Actuariat (lissages non paramétriques, etc.), en Machine learning (tuning pour définir les bons hyper-paramètres, méthode des coudes, etc.).
Et on ne le ferait pas dans une situation aussi stratégique et décisive à l'échelle d'un pays ?
Le problème, c'est que vous et moi savons que cette règle est figée dans le marbre et, sauf séisme de magnitude non encore connue, elle ne risque pas de changer durant les 100 prochaines années.
Précisons toutefois que, dans un univers hypothétique, une alternative serait alors de se baser sur l'écart maximal entre les scores de deux candidats consécutifs : selon cette nouvelle règle (quoique déjà utilisée en apprentissage non supervisé), le lettré Jean-Luc Mélenchon serait bien en finale le dimanche 24 avril prochain (et ses 7 605 225 électeurs avec lui).
Rédigé Par Ismaïl Mikou
On peut en effet tout à fait l'accepter dans un cadre sportif puisque, sauf erreur de ma part, un même match de football par exemple ne peut inclure trois adversaires. Mais dans le cadre d'une élection, cela ne présente aucune contrainte particulière.
Cette question du nombre optimal de candidats retenus en finale ne devrait donc plus être fixée arbitrairement (2, 3, 4, 6), mais adaptée selon les cas. On le fait bien en Actuariat (lissages non paramétriques, etc.), en Machine learning (tuning pour définir les bons hyper-paramètres, méthode des coudes, etc.).
Et on ne le ferait pas dans une situation aussi stratégique et décisive à l'échelle d'un pays ?
Le problème, c'est que vous et moi savons que cette règle est figée dans le marbre et, sauf séisme de magnitude non encore connue, elle ne risque pas de changer durant les 100 prochaines années.
Précisons toutefois que, dans un univers hypothétique, une alternative serait alors de se baser sur l'écart maximal entre les scores de deux candidats consécutifs : selon cette nouvelle règle (quoique déjà utilisée en apprentissage non supervisé), le lettré Jean-Luc Mélenchon serait bien en finale le dimanche 24 avril prochain (et ses 7 605 225 électeurs avec lui).
Rédigé Par Ismaïl Mikou
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La nature, ce doux mot polysémique.
