Dans sa préface, l’historienne Ersilia Francesca souligne qu’il ne s’agit pas simplement d’un livre de dénonciation, mais d’une invitation à redécouvrir l’éthique universelle du Coran, fondée sur la justice, l’équité et la dignité humaine. Elle salue également la portée novatrice de l’approche herméneutique adoptée par l’autrice. Pour sa part, Sara Borrillo replace l’ouvrage dans le courant du féminisme islamique, en plaidant pour « une théologie critique et décoloniale de la libération de genre ».
Il s’agit du quatrième ouvrage publié par les éditions En toutes lettres à être traduit en Italie, après :
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Dames de fraises, doigts de fée, sur les travailleuses saisonnières marocaines en Espagne de Chadia Arab, traduit par Ondina Chirizzi chez Luiss University Press ;
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Dos de femme, dos de mulet, de Hicham Houdaïfa, consacré aux femmes invisibles du Maroc rural, traduit par la regrettée Ileana Marchesani chez Edizione Di Felice ;
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Et plus récemment, Les sentiers de l’indiscipline de Driss Ksikes, traduit par Caterina Pastura et Sara Federico chez Mesogea.












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