Hammams à Sec : Marrakech et Casablanca en Quête d’Eau !
Cependant, la manière dont cette décision a été communiquée a suscité de vives inquiétudes parmi les propriétaires et exploitants de ces établissements emblématiques de la culture marocaine.
Rabi Wichah, président de l’Union nationale des associations des propriétaires et exploitants de hammams et douches, a confirmé que ces restrictions ne s'appliquent qu'à Casablanca et Marrakech, sans coordination préalable avec les professionnels du secteur. Cette absence de dialogue contredit les recommandations du ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, qui avait souligné l’importance de consulter les parties prenantes avant de prendre de telles décisions.
Cette fermeture partielle, déjà mise en place il y a quelques mois, est justifiée par la nécessité de gérer l'eau durant la saison estivale, où la demande augmente considérablement. Toutefois, les professionnels du secteur s'inquiètent des répercussions économiques et sociales de cette mesure, surtout en période de faible affluence. Ils soulignent que les précédentes fermetures n'ont pas été accompagnées d'allègements fiscaux, laissant les exploitants dans une situation financière précaire.
Les autorités défendent cette initiative comme une réponse urgente à la crise de l'eau, mais les acteurs du secteur appellent à une gestion plus globale des ressources hydriques, pointant du doigt des pratiques agricoles intensives et l'exportation de produits gourmands en eau, qui exacerbent la situation.
Rabi Wichah, président de l’Union nationale des associations des propriétaires et exploitants de hammams et douches, a confirmé que ces restrictions ne s'appliquent qu'à Casablanca et Marrakech, sans coordination préalable avec les professionnels du secteur. Cette absence de dialogue contredit les recommandations du ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, qui avait souligné l’importance de consulter les parties prenantes avant de prendre de telles décisions.
Cette fermeture partielle, déjà mise en place il y a quelques mois, est justifiée par la nécessité de gérer l'eau durant la saison estivale, où la demande augmente considérablement. Toutefois, les professionnels du secteur s'inquiètent des répercussions économiques et sociales de cette mesure, surtout en période de faible affluence. Ils soulignent que les précédentes fermetures n'ont pas été accompagnées d'allègements fiscaux, laissant les exploitants dans une situation financière précaire.
Les autorités défendent cette initiative comme une réponse urgente à la crise de l'eau, mais les acteurs du secteur appellent à une gestion plus globale des ressources hydriques, pointant du doigt des pratiques agricoles intensives et l'exportation de produits gourmands en eau, qui exacerbent la situation.