A lire ou à écouter en podcast :
Frappes israéliennes : une escalade qui change la donne en Syrie
Alors que Soueida s’embrase, Israël a choisi de frapper fort… et directement. Cette semaine, des missiles israéliens se sont abattus sur Damas, en pleine crise entre tribus et druzes au sud de la Syrie. Un geste qui fait monter la tension d’un cran, et pose de vraies questions sur l’avenir de la région.
Ce n’est pas la première fois qu’Israël intervient militairement en Syrie. Mais là, le timing est glaçant : alors que la ville de Soueida est secouée par des affrontements meurtriers, l’aviation israélienne bombarde Damas, la capitale. Officiellement, il s’agirait de viser des positions iraniennes ou du Hezbollah. Mais sur le terrain, ce sont surtout les civils qui trinquent, et le chaos qui s’installe encore plus profondément.
En bombardant Damas, Israël ne se contente plus de l’ombre : il s’impose comme acteur direct du conflit. Résultat ? Les groupes armés locaux se sentent soit galvanisés, soit menacés, et la violence redouble à Soueida. Les druzes, déjà pris entre deux feux, voient leur sort encore plus incertain. Les tribus pro-régime, elles, profitent de la confusion pour avancer leurs pions. Bref, c’est l’escalade, et personne ne sait où ça va s’arrêter.
Pour nous, au Maroc, ce genre de scénario rappelle que le Moyen-Orient est un véritable baril de poudre. L’ingérence israélienne, loin de calmer les choses, les complique. Plus Israël bombarde, plus le risque d’un embrasement général augmente. Et qui dit chaos en Syrie, dit instabilité pour toute la région MENA… et donc pour nous aussi, que ce soit au niveau sécuritaire, économique ou migratoire.
Sur les réseaux sociaux marocains, la réaction est unanime : « Israël joue avec le feu ! » ; « Encore des civils innocents qui paient le prix fort… ». Certains rappellent que la paix reste fragile partout, et que les grandes puissances devraient cesser de transformer la région en terrain de jeu. Les experts marocains, eux, appellent à la vigilance : « L’escalade militaire ne profite à personne, surtout pas aux peuples de la région ».
La vraie question, c’est : jusqu’où ira Israël ? Et combien de temps la communauté internationale va-t-elle fermer les yeux ? Si la Syrie s’enfonce encore, le risque de contagion est réel. Pour le Maroc et ses voisins, il est temps de rester attentifs et solidaires.
Ce n’est pas la première fois qu’Israël intervient militairement en Syrie. Mais là, le timing est glaçant : alors que la ville de Soueida est secouée par des affrontements meurtriers, l’aviation israélienne bombarde Damas, la capitale. Officiellement, il s’agirait de viser des positions iraniennes ou du Hezbollah. Mais sur le terrain, ce sont surtout les civils qui trinquent, et le chaos qui s’installe encore plus profondément.
En bombardant Damas, Israël ne se contente plus de l’ombre : il s’impose comme acteur direct du conflit. Résultat ? Les groupes armés locaux se sentent soit galvanisés, soit menacés, et la violence redouble à Soueida. Les druzes, déjà pris entre deux feux, voient leur sort encore plus incertain. Les tribus pro-régime, elles, profitent de la confusion pour avancer leurs pions. Bref, c’est l’escalade, et personne ne sait où ça va s’arrêter.
Pour nous, au Maroc, ce genre de scénario rappelle que le Moyen-Orient est un véritable baril de poudre. L’ingérence israélienne, loin de calmer les choses, les complique. Plus Israël bombarde, plus le risque d’un embrasement général augmente. Et qui dit chaos en Syrie, dit instabilité pour toute la région MENA… et donc pour nous aussi, que ce soit au niveau sécuritaire, économique ou migratoire.
Sur les réseaux sociaux marocains, la réaction est unanime : « Israël joue avec le feu ! » ; « Encore des civils innocents qui paient le prix fort… ». Certains rappellent que la paix reste fragile partout, et que les grandes puissances devraient cesser de transformer la région en terrain de jeu. Les experts marocains, eux, appellent à la vigilance : « L’escalade militaire ne profite à personne, surtout pas aux peuples de la région ».
La vraie question, c’est : jusqu’où ira Israël ? Et combien de temps la communauté internationale va-t-elle fermer les yeux ? Si la Syrie s’enfonce encore, le risque de contagion est réel. Pour le Maroc et ses voisins, il est temps de rester attentifs et solidaires.












L'accueil





















