Ce matin, l'air est lourd, le ciel est gris, et les cœurs sont serrés. Ce matin, mon pays est en deuil. Ce matin, mon peuple pleure ses enfants. La rage des miens est encore plus justifiée lorsqu’ils voient où sont les priorités de leurs dirigeants. Les inondations dévastatrices qui ont frappé la ville de Safi hier ont laissé derrière elles un bilan tragique, avec au moins 37 morts officiellement confirmés, bien que certaines sources évoquent jusqu'à 47 victimes.
Une enquête ouverte : Quelles responsabilités ?
Les pluies torrentielles, d'une intensité exceptionnelle, ont provoqué des crues soudaines qui ont submergé les rues de cette ville côtière, transformant des quartiers entiers en véritables torrents. Les images des rues inondées, des voitures emportées par les flots, et des familles piégées dans leurs maisons hantent nos esprits. Les secours, mobilisés dans l'urgence, continuent de fouiller les décombres à la recherche de survivants, mais chaque minute qui passe ne fait qu'accentuer l'angoisse et la douleur des proches des disparus.
Le parquet a immédiatement lancé une enquête pour déterminer les circonstances exactes de cette tragédie. Les questions fusent : comment un tel désastre a-t-il pu se produire ? Quelles mesures de prévention étaient en place ? Les infrastructures de drainage, souvent critiquées pour leur insuffisance, ont-elles été négligées ? Les habitants de Safi, déjà éprouvés par des conditions climatiques extrêmes, se sentent trahis par un système qui semble les avoir abandonnés au moment où ils en avaient le plus besoin.
Ce matin, les visages sont marqués par la tristesse et l'incompréhension. Les familles endeuillées cherchent des réponses, mais aussi du réconfort dans la solidarité qui émerge face à la catastrophe. Les communautés s'organisent pour venir en aide aux sinistrés, prouvant une fois de plus que la résilience du peuple marocain est sans égal.
Les autorités doivent maintenant agir avec détermination. Il est impératif que des mesures concrètes soient mises en place pour prévenir de telles tragédies à l'avenir. Les habitants de Safi méritent des infrastructures robustes, des systèmes d'alerte efficaces et, surtout, un engagement sincère de la part de leurs dirigeants pour protéger leur vie et leur bien-être.
En ce jour de deuil, nous pleurons nos morts, mais nous devons également exiger des réponses et des actions. Le Maroc ne peut pas rester silencieux face à une telle tragédie. Ce matin, nous sommes unis dans la douleur, mais aussi dans l'espoir d'un avenir meilleur, où la vie de chacun sera protégée.
Le parquet a immédiatement lancé une enquête pour déterminer les circonstances exactes de cette tragédie. Les questions fusent : comment un tel désastre a-t-il pu se produire ? Quelles mesures de prévention étaient en place ? Les infrastructures de drainage, souvent critiquées pour leur insuffisance, ont-elles été négligées ? Les habitants de Safi, déjà éprouvés par des conditions climatiques extrêmes, se sentent trahis par un système qui semble les avoir abandonnés au moment où ils en avaient le plus besoin.
Ce matin, les visages sont marqués par la tristesse et l'incompréhension. Les familles endeuillées cherchent des réponses, mais aussi du réconfort dans la solidarité qui émerge face à la catastrophe. Les communautés s'organisent pour venir en aide aux sinistrés, prouvant une fois de plus que la résilience du peuple marocain est sans égal.
Les autorités doivent maintenant agir avec détermination. Il est impératif que des mesures concrètes soient mises en place pour prévenir de telles tragédies à l'avenir. Les habitants de Safi méritent des infrastructures robustes, des systèmes d'alerte efficaces et, surtout, un engagement sincère de la part de leurs dirigeants pour protéger leur vie et leur bien-être.
En ce jour de deuil, nous pleurons nos morts, mais nous devons également exiger des réponses et des actions. Le Maroc ne peut pas rester silencieux face à une telle tragédie. Ce matin, nous sommes unis dans la douleur, mais aussi dans l'espoir d'un avenir meilleur, où la vie de chacun sera protégée.












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