Le soleil se couche doucement sur l’hippodrome de Casa-Anfa, mais ce n’est que le début de l’histoire. Jazzablanca, le festival qui a su imposer Casablanca comme une capitale musicale, revient cette année avec une programmation qui fait rêver. Et dès le premier soir, la magie opère : entre les rythmes endiablés d’El Comité, la poésie suspendue d’Hindi Zahra et les tubes intemporels de Seal, la ville blanche vibre comme jamais.
El Comité : Cuba débarque à Casa et ça chauffe !
À 19h30, les premières notes s’élèvent et tout bascule. El Comité, groupe cubain composé de six musiciens survoltés, prend possession de la scène avec une énergie qui fait bouger même les plus timides. Leur jazz afro-cubain est une véritable tornade musicale : les pulsations du piano, les cuivres qui rugissent, la batterie qui galope. Le public, encore calme au début, se met à onduler, sourire aux lèvres.
Hindi Zahra : une voix qui caresse l’âme
Quelques heures plus tard, changement d’ambiance. Les lumières se tamisent, et c’est Hindi Zahra qui apparaît, presque irréelle. Originaire de Khouribga, elle incarne cette folk marocaine qui voyage entre blues, groove et poésie. Sur scène, elle est plus qu’une chanteuse, elle est une présence magnétique. Sa voix, douce et angélique, semble flotter dans l’air comme un murmure porté par le vent. Le public, captivé, est suspendu à chaque note.
Seal : la légende au sommet de son art
Et puis, la cerise sur le gâteau. Seal, la star internationale, entre en scène avec son charisme intact et son costume élégant. Dès les premières notes de ‘Crazy’, l’hippodrome explose. Sa voix grave et veloutée traverse les générations, et ses tubes, comme ‘Kiss From a Rose’, créent une communion rare. Tout le monde chante, des plus jeunes aux plus anciens, dans une ambiance presque cinématographique. Les téléphones s’abaissent, les regards montent, et Casablanca devient le théâtre d’un moment suspendu.
El Comité : Cuba débarque à Casa et ça chauffe !
À 19h30, les premières notes s’élèvent et tout bascule. El Comité, groupe cubain composé de six musiciens survoltés, prend possession de la scène avec une énergie qui fait bouger même les plus timides. Leur jazz afro-cubain est une véritable tornade musicale : les pulsations du piano, les cuivres qui rugissent, la batterie qui galope. Le public, encore calme au début, se met à onduler, sourire aux lèvres.
Hindi Zahra : une voix qui caresse l’âme
Quelques heures plus tard, changement d’ambiance. Les lumières se tamisent, et c’est Hindi Zahra qui apparaît, presque irréelle. Originaire de Khouribga, elle incarne cette folk marocaine qui voyage entre blues, groove et poésie. Sur scène, elle est plus qu’une chanteuse, elle est une présence magnétique. Sa voix, douce et angélique, semble flotter dans l’air comme un murmure porté par le vent. Le public, captivé, est suspendu à chaque note.
Seal : la légende au sommet de son art
Et puis, la cerise sur le gâteau. Seal, la star internationale, entre en scène avec son charisme intact et son costume élégant. Dès les premières notes de ‘Crazy’, l’hippodrome explose. Sa voix grave et veloutée traverse les générations, et ses tubes, comme ‘Kiss From a Rose’, créent une communion rare. Tout le monde chante, des plus jeunes aux plus anciens, dans une ambiance presque cinématographique. Les téléphones s’abaissent, les regards montent, et Casablanca devient le théâtre d’un moment suspendu.












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