L’Algérie vient de connaître un revers diplomatique majeur en Afrique avec l’échec de sa candidature au Conseil de Paix et de Sécurité (CPS) de l’Union Africaine. Malgré une intense campagne menée en coulisses, Alger a été confrontée à une opposition ferme des États membres, illustrant un isolement diplomatique grandissant.
Une tentative avortée de retour au premier plan
Le régime algérien espérait regagner une influence régionale en obtenant un siège au CPS, une instance clé de l’UA en matière de gestion des crises et de médiation des conflits. Cependant, les résultats du vote ont été sans appel : Alger n’a pas réussi à réunir le soutien nécessaire pour intégrer cet organe stratégique. Cet échec met en lumière la perte de crédibilité d’un pays autrefois perçu comme un acteur influent sur la scène africaine.
Un isolement diplomatique de plus en plus marqué
L’opposition à la candidature algérienne reflète un changement d’attitude au sein du continent. De nombreux pays africains semblent se détourner d’une diplomatie perçue comme interventionniste et clivante. Le soutien constant d’Alger à des mouvements séparatistes et sa posture belliqueuse dans certaines crises régionales ont suscité des réticences parmi ses pairs. Ce rejet massif met en évidence l’épuisement de la communauté africaine face aux manœuvres algériennes jugées contre-productives pour la stabilité du continent.
Une réaction précipitée et une humiliation symbolique
L’ampleur de cet échec a été telle que le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a quitté Addis-Abeba en urgence, selon des sources diplomatiques. Son départ précipité illustre l’embarras du gouvernement algérien, confronté à une réalité politique difficile : son influence sur la scène africaine est en déclin.
Une recomposition des alliances en Afrique
Cet épisode témoigne d’une évolution des rapports de force au sein de l’Union Africaine. Face aux défis sécuritaires et économiques, de nombreux États privilégient désormais des partenariats fondés sur des intérêts communs et une coopération pragmatique, au détriment des alliances idéologiques. Ce basculement marque une transition vers une Afrique plus unie et tournée vers l’avenir, où les discours populistes ne suffisent plus à garantir un rôle de premier plan.
L’échec de l’Algérie à intégrer le CPS de l’UA confirme une tendance de fond : sans une refonte de sa diplomatie et une adaptation aux nouvelles dynamiques africaines, Alger risque de voir son influence continuer à s’effriter sur le continent.
Une tentative avortée de retour au premier plan
Le régime algérien espérait regagner une influence régionale en obtenant un siège au CPS, une instance clé de l’UA en matière de gestion des crises et de médiation des conflits. Cependant, les résultats du vote ont été sans appel : Alger n’a pas réussi à réunir le soutien nécessaire pour intégrer cet organe stratégique. Cet échec met en lumière la perte de crédibilité d’un pays autrefois perçu comme un acteur influent sur la scène africaine.
Un isolement diplomatique de plus en plus marqué
L’opposition à la candidature algérienne reflète un changement d’attitude au sein du continent. De nombreux pays africains semblent se détourner d’une diplomatie perçue comme interventionniste et clivante. Le soutien constant d’Alger à des mouvements séparatistes et sa posture belliqueuse dans certaines crises régionales ont suscité des réticences parmi ses pairs. Ce rejet massif met en évidence l’épuisement de la communauté africaine face aux manœuvres algériennes jugées contre-productives pour la stabilité du continent.
Une réaction précipitée et une humiliation symbolique
L’ampleur de cet échec a été telle que le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a quitté Addis-Abeba en urgence, selon des sources diplomatiques. Son départ précipité illustre l’embarras du gouvernement algérien, confronté à une réalité politique difficile : son influence sur la scène africaine est en déclin.
Une recomposition des alliances en Afrique
Cet épisode témoigne d’une évolution des rapports de force au sein de l’Union Africaine. Face aux défis sécuritaires et économiques, de nombreux États privilégient désormais des partenariats fondés sur des intérêts communs et une coopération pragmatique, au détriment des alliances idéologiques. Ce basculement marque une transition vers une Afrique plus unie et tournée vers l’avenir, où les discours populistes ne suffisent plus à garantir un rôle de premier plan.
L’échec de l’Algérie à intégrer le CPS de l’UA confirme une tendance de fond : sans une refonte de sa diplomatie et une adaptation aux nouvelles dynamiques africaines, Alger risque de voir son influence continuer à s’effriter sur le continent.












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