Ce titre, qui fait référence à la région marocaine éponyme, berceau historique de l’aïta, incarne une véritable renaissance pour ce genre musical ancestral. L’aïta, souvent qualifiée de "blues rural marocain", était autrefois portée par les voix puissantes des chikhates, ces femmes artistes qui chantaient les joies et les douleurs du quotidien en mêlant poésie et musique.
Avec "Abda", Aïta Mon Amour s’attaque à un défi ambitieux : celui de réconcilier tradition et modernité. Cet album de neuf titres propose une réinterprétation audacieuse de l’aïta en intégrant des sonorités électroniques innovantes. Le résultat est un dialogue harmonieux entre les racines culturelles marocaines et une vision contemporaine qui transcende les frontières. Chaque morceau témoigne d’un profond respect pour le patrimoine tout en explorant de nouvelles dimensions artistiques. Ce projet ne se contente pas d’être une œuvre musicale, il est également porteur d’un message universel d’émancipation et de célébration des identités multiples.
Le duo ne s’arrête pas à la musique. Pour accompagner la sortie de l’album, Aïta Mon Amour a dévoilé un clip intitulé "L’Hedawiyet", réalisé par Fatma Ben Aïssa. Cette œuvre visuelle maroco-tunisienne, tournée en septembre 2024, met en lumière deux figures féminines fortes : Halima Bahraoui, cavalière de barreda, et Fatma Sfar, actrice tunisienne. Inspiré par la légendaire Kharboucha, chanteuse rebelle qui utilisait sa voix pour dénoncer l’oppression, le clip est une ode à la liberté et à la sororité. Il raconte l’histoire de Fatma, une femme puisant dans l’héritage de ses aînées pour affirmer son indépendance face aux pressions sociales. Entre rêve et réalité, cette œuvre visuelle magnifie la puissance féminine et la résilience.
Avec "Abda", Widad Mjama et Khalil Epi ne se contentent pas de revisiter un genre musical. Ils redéfinissent les contours de l’aïta en lui offrant une portée internationale, tout en honorant ses origines. Ce projet s’impose comme une passerelle entre passé et futur, entre tradition et innovation.
Avec "Abda", Aïta Mon Amour s’attaque à un défi ambitieux : celui de réconcilier tradition et modernité. Cet album de neuf titres propose une réinterprétation audacieuse de l’aïta en intégrant des sonorités électroniques innovantes. Le résultat est un dialogue harmonieux entre les racines culturelles marocaines et une vision contemporaine qui transcende les frontières. Chaque morceau témoigne d’un profond respect pour le patrimoine tout en explorant de nouvelles dimensions artistiques. Ce projet ne se contente pas d’être une œuvre musicale, il est également porteur d’un message universel d’émancipation et de célébration des identités multiples.
Le duo ne s’arrête pas à la musique. Pour accompagner la sortie de l’album, Aïta Mon Amour a dévoilé un clip intitulé "L’Hedawiyet", réalisé par Fatma Ben Aïssa. Cette œuvre visuelle maroco-tunisienne, tournée en septembre 2024, met en lumière deux figures féminines fortes : Halima Bahraoui, cavalière de barreda, et Fatma Sfar, actrice tunisienne. Inspiré par la légendaire Kharboucha, chanteuse rebelle qui utilisait sa voix pour dénoncer l’oppression, le clip est une ode à la liberté et à la sororité. Il raconte l’histoire de Fatma, une femme puisant dans l’héritage de ses aînées pour affirmer son indépendance face aux pressions sociales. Entre rêve et réalité, cette œuvre visuelle magnifie la puissance féminine et la résilience.
Avec "Abda", Widad Mjama et Khalil Epi ne se contentent pas de revisiter un genre musical. Ils redéfinissent les contours de l’aïta en lui offrant une portée internationale, tout en honorant ses origines. Ce projet s’impose comme une passerelle entre passé et futur, entre tradition et innovation.












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