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Le président de la Chambre, Mike Johnson, a exprimé son opposition véhémente à cette décision, qualifiant les mandats d'arrêt de « sans raison » et dénonçant ce qu'il considère comme des accusations « inexistantes » contre les dirigeants israéliens. Johnson a affirmé que les États-Unis n'accepteraient pas que des « bureaucrates internationaux » délivrent des mandats d'arrêt contre les dirigeants israéliens, ajoutant que « le Congrès examine toutes les options, y compris des sanctions, pour punir la CPI et s'assurer que ses dirigeants subissent des conséquences s'ils poursuivent cette voie »
Cette position a été soutenue par plusieurs législateurs républicains influents, dont le sénateur Lindsey Graham, qui a promis de travailler avec ses collègues des deux partis pour imposer des sanctions sévères contre la CPI. Le sénateur Tom Cotton a également critiqué la décision de la CPI, qualifiant la cour de « kangourou » et accusant le procureur Khan de mener une enquête politiquement motivée et antisémite
Le président Joe Biden et d'autres responsables démocrates ont également condamné la décision de la CPI. Biden a qualifié les mandats d'arrêt de « scandaleux » et a souligné qu'il n'y avait aucune équivalence entre les actions d'Israël et celles du Hamas. Le secrétaire d'État Antony Blinken a ajouté que les accusations contre Israël étaient « honteuses » et a réaffirmé le soutien inébranlable des États-Unis à la sécurité d'Israël.
Cependant, cette position n'est pas unanime au sein du Parti démocrate. Certains progressistes ont applaudi l'initiative de la CPI, arguant que personne ne devrait être au-dessus des lois, pas même les dirigeants israéliens. Des figures comme le représentant Mark Pocan ont exprimé leur soutien aux mandats d'arrêt, soulignant la nécessité de justice pour toutes les parties impliquées dans le conflit.
La situation reste complexe et divisée, avec des implications potentiellement significatives pour les relations internationales et la diplomatie américaine. Le débat sur la légitimité et l'autorité de la CPI continue de susciter des réactions passionnées des deux côtés de l'échiquier politique aux États-Unis et ailleurs dans le monde .
Cette position a été soutenue par plusieurs législateurs républicains influents, dont le sénateur Lindsey Graham, qui a promis de travailler avec ses collègues des deux partis pour imposer des sanctions sévères contre la CPI. Le sénateur Tom Cotton a également critiqué la décision de la CPI, qualifiant la cour de « kangourou » et accusant le procureur Khan de mener une enquête politiquement motivée et antisémite
Le président Joe Biden et d'autres responsables démocrates ont également condamné la décision de la CPI. Biden a qualifié les mandats d'arrêt de « scandaleux » et a souligné qu'il n'y avait aucune équivalence entre les actions d'Israël et celles du Hamas. Le secrétaire d'État Antony Blinken a ajouté que les accusations contre Israël étaient « honteuses » et a réaffirmé le soutien inébranlable des États-Unis à la sécurité d'Israël.
Cependant, cette position n'est pas unanime au sein du Parti démocrate. Certains progressistes ont applaudi l'initiative de la CPI, arguant que personne ne devrait être au-dessus des lois, pas même les dirigeants israéliens. Des figures comme le représentant Mark Pocan ont exprimé leur soutien aux mandats d'arrêt, soulignant la nécessité de justice pour toutes les parties impliquées dans le conflit.
La situation reste complexe et divisée, avec des implications potentiellement significatives pour les relations internationales et la diplomatie américaine. Le débat sur la légitimité et l'autorité de la CPI continue de susciter des réactions passionnées des deux côtés de l'échiquier politique aux États-Unis et ailleurs dans le monde .