L'approbation de cette mesure ouvre de nouvelles perspectives économiques pour le sud du Maroc et met en avant l'engagement de la France envers le plan d'autonomie proposé par le Maroc pour le Sahara. Plus qu'une manœuvre politique, cette action reflète l'engagement de la France à contribuer au développement économique et social du royaume, en particulier dans ses provinces sahariennes.

En agissant ainsi, la France se positionne comme un partenaire majeur pour le développement de cette région du Maroc, s'établissant comme un allié occidental de premier plan du pays et montrant son soutien aux ambitions de développement du royaume.

Cette initiative crée une opportunité pour lancer de nombreux projets qui étaient jusqu'alors en attente. Elle vient appuyer les efforts du Maroc, notamment par le biais de son Initiative Atlantique, qui vise à transformer la région en un centre d'investissement et de croissance économique, en particulier dans les domaines des énergies renouvelables, de l'industrie et des infrastructures.

Affaire à suivre, cette décision pourrait être un point de bascule dans les relations franco-marocaines, promettant une coopération renforcée et un développement économique significatif pour les provinces sud du Maroc. Il reste à espérer que cette initiative soit entreprise avec des intentions pures, sans arrière-pensées, notamment dans le contexte délicat des relations entre le Maroc et l'Algérie.

Pour mémoire : L'ambassadeur français à Rabat avait déclaré que la France traduira ses paroles en actions dans le dossier du Sahara.