En témoigne, à ce titre, le déficit pluviométrique des quatre premiers mois de la campagne agricole qui aurait atteint 53 % en comparaison avec la même période d’une saison normale.
Toutefois, le HCP précise qu’en cas de réajustement des conditions pluviométriques au régime d’une saison normale, notamment au cours du premier trimestre 2024, la valeur ajoutée agricole pourrait enregistrer, en variation annuelle, une amélioration de 0,5 %.
Hors agriculture, le HCP évoque une croissance qui se maintiendrait au rythme de 2,9 %, portée par la progression continue des activités des secteurs secondaires, notamment les industries chimiques, la fabrication de matériel de transport et l'industrie automobile.
Et ce, au moment où les services observeraient une évolution relativement modérée, en conservant une contribution de 1,6 point à la croissance économique, contre 0,5 point pour le secteur secondaire.
N’empêche que la demande intérieure demeurerait le principal moteur de la croissance, tirée tant par la consommation des ménages que celle des administrations publiques.
A ce niveau, le HCP apporte la précision suivante : "la décélération des revenus, fortement ressentie dans les régions rurales en raison de conditions climatiques défavorables, impactant les dépenses des ménages serait quelque peu atténuée par l'accroissement des transferts publics".
Et qu’en variation annuelle, la consommation des ménages devrait enregistrer une hausse de 1,2 % au premier trimestre 2024.
Parallèlement, "la demande intérieure serait, également, tirée par l'amélioration des dépenses de consommation des administrations publiques, qui devraient, en outre, renforcer leurs investissements durant cette période".
En revanche, "les investissements des entreprises non-financières ralentiraient, dans un contexte de maintien de la hausse des coûts de financement bancaire".
La même tendance serait observée au niveau de la contribution des échanges extérieurs à l'activité économique qui, pour le troisième trimestre consécutif, demeurerait négative, amputant la croissance économique globale de 1,8 point.
Le tout ferait que globalement, "la croissance économique devrait s’établir à +2,4 % au premier trimestre 2024, en rythme annuel, au lieu de +3,5 % au cours de la même période de l’année antérieure".
Toutefois, le HCP précise qu’en cas de réajustement des conditions pluviométriques au régime d’une saison normale, notamment au cours du premier trimestre 2024, la valeur ajoutée agricole pourrait enregistrer, en variation annuelle, une amélioration de 0,5 %.
Hors agriculture, le HCP évoque une croissance qui se maintiendrait au rythme de 2,9 %, portée par la progression continue des activités des secteurs secondaires, notamment les industries chimiques, la fabrication de matériel de transport et l'industrie automobile.
Et ce, au moment où les services observeraient une évolution relativement modérée, en conservant une contribution de 1,6 point à la croissance économique, contre 0,5 point pour le secteur secondaire.
N’empêche que la demande intérieure demeurerait le principal moteur de la croissance, tirée tant par la consommation des ménages que celle des administrations publiques.
A ce niveau, le HCP apporte la précision suivante : "la décélération des revenus, fortement ressentie dans les régions rurales en raison de conditions climatiques défavorables, impactant les dépenses des ménages serait quelque peu atténuée par l'accroissement des transferts publics".
Et qu’en variation annuelle, la consommation des ménages devrait enregistrer une hausse de 1,2 % au premier trimestre 2024.
Parallèlement, "la demande intérieure serait, également, tirée par l'amélioration des dépenses de consommation des administrations publiques, qui devraient, en outre, renforcer leurs investissements durant cette période".
En revanche, "les investissements des entreprises non-financières ralentiraient, dans un contexte de maintien de la hausse des coûts de financement bancaire".
La même tendance serait observée au niveau de la contribution des échanges extérieurs à l'activité économique qui, pour le troisième trimestre consécutif, demeurerait négative, amputant la croissance économique globale de 1,8 point.
Le tout ferait que globalement, "la croissance économique devrait s’établir à +2,4 % au premier trimestre 2024, en rythme annuel, au lieu de +3,5 % au cours de la même période de l’année antérieure".