Selon le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaid, les salles de cinéma ont généré des recettes impressionnantes de 127 millions de dirhams (MDH) en 2024, marquant une progression notable par rapport aux 89 MDH enregistrés en 2023 et aux 77 MDH de 2022. Cette croissance s'accompagne également d'une augmentation significative du nombre de spectateurs, qui a atteint 2,2 millions en 2024, contre 1,7 million l'année précédente. Ces chiffres traduisent un regain d'intérêt des Marocains pour le grand écran.
Cette embellie s'explique en partie par l'ouverture de nouvelles salles de cinéma dans plusieurs régions du Royaume, offrant ainsi une meilleure accessibilité au public. Ce développement s'inscrit dans une politique culturelle visant à démocratiser l'accès à l'art cinématographique et à revitaliser un secteur longtemps en déclin. Par ailleurs, la concurrence accrue entre les exploitants a permis d'améliorer l'expérience des spectateurs, attirant ainsi un public plus large et diversifié.
Mais ce n'est pas tout : le Maroc s'impose également comme un acteur incontournable dans le domaine de la production cinématographique internationale. En 2024, ce segment a généré des revenus records de 1,5 milliard de dirhams (MMDH), contre environ 1 MMDH en 2023 et 600 MDH en 2022. Cette progression exponentielle témoigne de l'attractivité croissante du pays pour les productions étrangères. Avec ses paysages variés, ses infrastructures modernes et ses incitations fiscales compétitives, le Maroc est devenu une destination de choix pour les réalisateurs du monde entier. Des blockbusters hollywoodiens aux productions européennes, le Royaume continue d'attirer des tournages prestigieux, contribuant ainsi à renforcer son image sur la scène internationale.
Cette double dynamique, hausse des fréquentations locales et essor des productions internationales illustre une véritable renaissance pour le cinéma marocain. Toutefois, des défis subsistent : il s'agit notamment de pérenniser cette croissance en investissant davantage dans la formation des talents locaux, en soutenant les productions nationales et en poursuivant la modernisation des infrastructures. Si ces efforts sont maintenus, le cinéma marocain pourrait bien devenir un pilier incontournable de l'économie culturelle du pays.
Cette embellie s'explique en partie par l'ouverture de nouvelles salles de cinéma dans plusieurs régions du Royaume, offrant ainsi une meilleure accessibilité au public. Ce développement s'inscrit dans une politique culturelle visant à démocratiser l'accès à l'art cinématographique et à revitaliser un secteur longtemps en déclin. Par ailleurs, la concurrence accrue entre les exploitants a permis d'améliorer l'expérience des spectateurs, attirant ainsi un public plus large et diversifié.
Mais ce n'est pas tout : le Maroc s'impose également comme un acteur incontournable dans le domaine de la production cinématographique internationale. En 2024, ce segment a généré des revenus records de 1,5 milliard de dirhams (MMDH), contre environ 1 MMDH en 2023 et 600 MDH en 2022. Cette progression exponentielle témoigne de l'attractivité croissante du pays pour les productions étrangères. Avec ses paysages variés, ses infrastructures modernes et ses incitations fiscales compétitives, le Maroc est devenu une destination de choix pour les réalisateurs du monde entier. Des blockbusters hollywoodiens aux productions européennes, le Royaume continue d'attirer des tournages prestigieux, contribuant ainsi à renforcer son image sur la scène internationale.
Cette double dynamique, hausse des fréquentations locales et essor des productions internationales illustre une véritable renaissance pour le cinéma marocain. Toutefois, des défis subsistent : il s'agit notamment de pérenniser cette croissance en investissant davantage dans la formation des talents locaux, en soutenant les productions nationales et en poursuivant la modernisation des infrastructures. Si ces efforts sont maintenus, le cinéma marocain pourrait bien devenir un pilier incontournable de l'économie culturelle du pays.