Le gouvernement vietnamien a ordonné le blocage de Telegram à partir du 2 juin, reprochant à la plateforme de ne pas collaborer avec les autorités dans le cadre d’enquêtes criminelles.

D’après un rapport de la police, une majorité des chaînes Telegram locales seraient impliquées dans des activités illégales, voire terroristes.

Cette mesure s’inscrit dans un contexte de censure accrue, où les voix dissidentes sont régulièrement étouffées. Telegram, surpris, affirme avoir répondu aux obligations légales et traite encore une demande officielle en cours.