Prêtre au Pérou, pape pour le monde
Fumée blanche ce 8 mai à Rome, cris de joie place Saint-Pierre : le monde catholique a un nouveau chef. L’Américain Robert Francis Prevost, 69 ans, a été élu pape et prendra le nom de Léon XIV. C’est une première historique : un pape originaire des États-Unis, mais fortement marqué par l’Amérique latine, où il a longtemps œuvré dans les quartiers défavorisés du Pérou. Dès sa première apparition, sous les dorures de la chapelle Sixtine, il a annoncé la couleur : non à l’argent, au pouvoir, au plaisir facile, oui à une foi sincère et proche des plus faibles.
Né à Chicago, Prevost s’installe jeune au Pérou avec les Augustins. Il y passe des années comme prêtre, éducateur et proche des oubliés. Évêque de Chiclayo, il est repéré par le pape François qui le nomme ensuite à Rome pour s’occuper des évêques du monde entier. Résultat : quand le conclave se réunit pour trouver un successeur à François, son nom s’impose comme un pont entre les continents et un héritier naturel des réformes sociales de son prédécesseur. En quatre tours seulement, les cardinaux tranchent : ce sera lui.
Léon XIV a promis de marcher « main dans la main avec Dieu ». Une phrase simple, mais lourde de promesses. Réforme ? Ouverture à la jeunesse ? Justice dans l’Église ? Tout est sur la table. Reste à voir si ce pape au style sobre, mais aux idées tranchées, saura réellement transformer une institution aussi vieille que le Vatican. Une chose est sûre : la foi mondiale entre dans une nouvelle ère. Et toi, tu penses que l’Église peut vraiment changer ?
Né à Chicago, Prevost s’installe jeune au Pérou avec les Augustins. Il y passe des années comme prêtre, éducateur et proche des oubliés. Évêque de Chiclayo, il est repéré par le pape François qui le nomme ensuite à Rome pour s’occuper des évêques du monde entier. Résultat : quand le conclave se réunit pour trouver un successeur à François, son nom s’impose comme un pont entre les continents et un héritier naturel des réformes sociales de son prédécesseur. En quatre tours seulement, les cardinaux tranchent : ce sera lui.
Léon XIV a promis de marcher « main dans la main avec Dieu ». Une phrase simple, mais lourde de promesses. Réforme ? Ouverture à la jeunesse ? Justice dans l’Église ? Tout est sur la table. Reste à voir si ce pape au style sobre, mais aux idées tranchées, saura réellement transformer une institution aussi vieille que le Vatican. Une chose est sûre : la foi mondiale entre dans une nouvelle ère. Et toi, tu penses que l’Église peut vraiment changer ?