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Poème à écouter en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
Les plus belles pensées s'éteignent un instant,
Sous l’ombre du doute et du vent incitant.
Comme un astre voilé sous le voile des cieux,
Elles dorment un temps, puis renaissent en mieux.
Leur éclat s'efface aux caprices du sort,
Mais leur feu secret ne s’éteint jamais fort.
Elles voguent, perdues, dans l’abîme profond,
Puis reviennent fières, auréolées d’un don.
L’histoire en témoigne : maint rêve oublié
Fut un jour porté aux cimes d’éternité.
L’esprit vagabond, en son cycle éternel,
Rappelle aux mortels le génie essentiel.
Une idée bannie, jugée vaine un temps,
Reprend sa vigueur sous l’élan du printemps.
Ainsi va la vie, tout renaît, tout se tait,
Puis soudain éclate en un cri de clarté.
Gardons l’espérance, car l’éclipse finit,
Et l’or de l’aurore, enfin, resurgit.
Ne pleure donc point ces silences amers,
Toute flamme éteinte revit dans l’éther.
Sous l’ombre du doute et du vent incitant.
Comme un astre voilé sous le voile des cieux,
Elles dorment un temps, puis renaissent en mieux.
Leur éclat s'efface aux caprices du sort,
Mais leur feu secret ne s’éteint jamais fort.
Elles voguent, perdues, dans l’abîme profond,
Puis reviennent fières, auréolées d’un don.
L’histoire en témoigne : maint rêve oublié
Fut un jour porté aux cimes d’éternité.
L’esprit vagabond, en son cycle éternel,
Rappelle aux mortels le génie essentiel.
Une idée bannie, jugée vaine un temps,
Reprend sa vigueur sous l’élan du printemps.
Ainsi va la vie, tout renaît, tout se tait,
Puis soudain éclate en un cri de clarté.
Gardons l’espérance, car l’éclipse finit,
Et l’or de l’aurore, enfin, resurgit.
Ne pleure donc point ces silences amers,
Toute flamme éteinte revit dans l’éther.
Ce poème explore le cycle des idées, comparant leur éclat et leur disparition temporaire aux éclipses célestes.
Même les plus belles pensées traversent des périodes d’ombre, mises en veille par le doute ou le temps. Pourtant, leur essence ne disparaît jamais vraiment : elles renaissent souvent plus fortes et plus lumineuses. L’histoire est témoin de ces résurgences, où des concepts oubliés retrouvent leur éclat sous un nouveau regard. Comme le printemps qui succède à l’hiver, les idées reviennent, portées par le renouveau de l’inspiration. Le poème invite à la patience et à l’espérance, rappelant que l’éclipse d’une pensée ne signifie pas sa fin, mais un temps de maturation. En conclusion, il célèbre la persistance de la lumière intellectuelle, affirmant que toute idée mise en sommeil peut resurgir avec éclat, prête à illuminer de nouveaux horizons.
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