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Les traitres à la patrie !


le Vendredi 11 Décembre 2020



Le Maroc serait-il victime de laxisme ? Avant de disloquer ce préambule qui prête au blâme, mettons-le aux prises avec les menées ennemies.

Les menées qui confèrent au blasphème, les machinations abjectes que tout patriote récuse entier. On ne transige pas avec le sacré.

Ou son corollaire : L’intégrité territoriale. L’innommable séparatiste Aminatou Haidar est une inconditionnelle de l’infâme. Doublée de ses acolytes, elle bricole une instance ennemie « L’instance sahraouie de lutte contre l’occupation marocaine ».

D’abord une aberration. Une balourdise qui tombe sous le coup de la loi. Le tribunal de Lâayoune, fut saisi pour trancher dans cette entaille qui suscite l’ire des Marocains. « C’est clair ! » comme dirait l’autre. Une instance qui mise sur le seul tapage pour supplanter la fameuse CODESA (L’association des défenseurs des droits de l’homme sahraoui). Cette caisse brumeuse financée par notre voisin, gisant sur le pétrole. Un voisin fauteur de troubles. Une caisse de billets verts qui faisait le confort de la séparatiste. Un matelas de liasses sous couvert d’allégations dupeuses : Les droits de l’homme. Une instrumentalisation à la mode, sensée maquiller tous les travers. Il fallut un bouc-émissaire pour passer sous silence la mise sous verrou de cette machine à fric . La séparatiste, fidèle à son rôle victimaire, accuse le Maroc de pressions ayant précipité la clôture de la CODESA.

Le mensonge est familier de la bouche Haidar. La dissolution de l’association aurait eu lieu suite à un crêpage de chignon entre Aminatou Haidar et son acolyte, Salem Tamek.

Le mobile ? L’un s’empiffrerait plus que l’autre. Déjà entre eux, ils manquent de tact… ne nous étonnons pas de leur opportunisme à l’égard du Maroc.

Il est des êtres qui se bonifient avec le temps, d’autres qui moisissent. Rappelons qu’ Aminatou Haidar, putréfiée d’ingratitude, a usé et abusé de la clémence Marocaine. Une tête brulée qui, en 2009, pousse l’affront jusqu’à renier sa marocanité.

L’aéroport de Laâyoune en fut le témoin type . C’était lors de son retour des îles canaries, accompagnée de deux journalistes espagnoles, ayant le toupet de passer outre la loi du pays, ce qui se fait monnaie courante chez l’illégitime contestataire, et qui oblige une autorisation préalable à toute séance photo dans les endroits publiques, en l’occurrence les enceintes de l’aéroport éponyme. Et c’est lors d’une altercation avec les autorités en place, que la semeuse de troubles avait en toute âme et conscience signé un document officiel pour ainsi renoncer à sa marocanité, aussi aurait-elle à la suite de cet incident jeté son passeport et sa pièce d’identité nationale. Rembarquée dans un avion espagnol, sans aucun document officiel, en direction des îles canaries , cette dernière aurait dès son arrivée fait un scandale qui lui valut une amende de 180 euros pour trouble à l’ordre publique. L’opportuniste n’avait pas manqué de remuer ciels et terres pour réinventer la figure de l’éternelle victime des présumées « pressions » marocaines. Un mot, devenu son leitmotiv, et qui assomme de par sa redondance.

Elle décida de faire appel à la grosse machine, le secrétariat général des nations unies a daigné prendre ses larmes de crocodile en patience.

L’Espagne est allé jusqu’à lui proposer l’asile politique pour calmer ses appétits, mais à l’exemple de celui qui se boursouffle à mesure qu’on le cajole, celle-ci aurait opposé un niet catégorique sous-entendant que cela arrangerait le Maroc qui n’aurait plus à souffrir ses balivernes. Le fuel ne lui manqua pas, tant elle fut impressionnée par les proportions titanesques que prenait le mauvais cours des choses. L’éperdue avait entamé une grève de la faim, et le monde en fut soulevé. Les grosses fonctions entrèrent en jeu, si tant est qu’elle puisse mettre de l’ordre dans l’estomac de la gréviste. Le secrétariat général du pays de l’oncle Sam, sous Hilary Clinton, le Quai D’Orsay, l’intérieur français sous Bernard Kouchner, encore plus haut, son ancien locataire devenu président du drapeau tricolore Nicolas Sarkozy, et bien sûr notre ministère des affaires étrangères sous la tutelle de Taïeb fassi-fihri. Des avions ont sillonné un ciel qui n’avait de bleu que la couleur pour échanger sur un sujet qui ne devrait atterrir, au plus, que dans une rubrique « faits divers ».

Mais le Sahara marocain a toujours suscité des ardeurs .

Le Maroc, dans un premier temps, avait clairement annoncé sa couleur. Des excuses de la part de la gréviste suffiraient à lui rendre son passeport, l’autoriser à fouler à nouveau le territoire marocain. Ce qui exprime déjà une incommensurable bienveillance d’un Maroc pacifiste. Car le fait même de profaner publiquement un document officiel tombe sous le coup de la loi. Mais l’ingratitude est apatride ! La mal intentionnée Haidar, voyait dans ce méli-mélo ouvert sur toutes les dérives une belle occasion pour se donner en spectacle : Mourir en « martyre ».

 

Son jeu fut dénudé à l’international. Le Maroc, faisant preuve de tact et de sagesse, de nature généreuse, ayant le sens de l’amitié vis-à-vis de ses pays alliés, a fini par remettre à la pseudo-militante son passeport, et lui a rouvert ses portes. Chassez le naturel, il revient au galop. Ayant fait-fi de cet élan de générosité que le Maroc a exprimé à son égard, la voilà qui récidive et de plus belle.

Hicham Aboumerrouane






Vendredi 11 Décembre 2020

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