La chanteuse marocaine Saida Charaf revient en force avec son nouveau titre "Leila Leila", une pépite musicale qui célèbre le patrimoine hassani marocain tout en l’habillant d’un souffle contemporain. Ce morceau, deuxième extrait de son ambitieux album "Tourath Bladi", s’inscrit dans un projet artistique visant à préserver et moderniser la mémoire musicale nationale. Et autant dire que le résultat est à la hauteur des attentes !
Un hommage au patrimoine en mode 2025
Dans "Lila Lila", Saida Charaf réussit un pari audacieux : celui de faire dialoguer la tradition et la modernité. L’artiste puise dans les racines profondes du patrimoine hassani, avec des paroles revisitées par le poète Lhabib Jmiaai, qui a su insuffler une nouvelle vie au texte tout en respectant son essence. Côté musical, le morceau porte la signature du talentueux Adil Lakhlifi, qui a assuré le mixage et le mastering. Les arrangements, quant à eux, marient subtilement les sonorités locales et les techniques modernes, avec des instruments comme la "tidinit" et la guitare jouées par Hicham Marouani et Sidi Ahmed Laid. Résultat : une identité sonore authentique mais résolument actuelle.
Un clip entre tradition et technologie
Le clip disponible sur la chaîne YouTube officielle de l’artiste, est une véritable ode visuelle au patrimoine saharien marocain. Réalisé dans les studios Simo Zaher, il met en scène des costumes traditionnels, des danses folkloriques et des éléments visuels qui capturent toute la richesse du Sud marocain. Mais ce n’est pas tout : l’utilisation de la technologie de l’intelligence artificielle pour certaines séquences apporte une touche futuriste au projet. Une manière de montrer que le patrimoine peut parfaitement coexister avec les outils les plus modernes.
Un projet qui fait vibrer les fans et la critique
Sur les réseaux sociaux, les fans sont unanimes : "Lila Lila" est une réussite. Entre commentaires qui saluent la beauté du clip et ceux qui applaudissent la profondeur musicale du morceau, Saida Charaf semble avoir conquis son public. Certains y voient une forme de "renaissance" du patrimoine hassani, tandis que d’autres soulignent la capacité de l’artiste à rendre accessible un genre parfois méconnu des jeunes générations.
La presse, elle aussi, ne tarit pas d’éloges. Plusieurs médias ont salué l’initiative de l’album "Tourath Bladi", qui ambitionne de revisiter les trésors musicaux des différentes régions du Maroc. Un projet qui, selon eux, contribue à préserver l’identité culturelle nationale tout en l’inscrivant dans une dynamique contemporaine.
Un hommage au patrimoine en mode 2025
Dans "Lila Lila", Saida Charaf réussit un pari audacieux : celui de faire dialoguer la tradition et la modernité. L’artiste puise dans les racines profondes du patrimoine hassani, avec des paroles revisitées par le poète Lhabib Jmiaai, qui a su insuffler une nouvelle vie au texte tout en respectant son essence. Côté musical, le morceau porte la signature du talentueux Adil Lakhlifi, qui a assuré le mixage et le mastering. Les arrangements, quant à eux, marient subtilement les sonorités locales et les techniques modernes, avec des instruments comme la "tidinit" et la guitare jouées par Hicham Marouani et Sidi Ahmed Laid. Résultat : une identité sonore authentique mais résolument actuelle.
Un clip entre tradition et technologie
Le clip disponible sur la chaîne YouTube officielle de l’artiste, est une véritable ode visuelle au patrimoine saharien marocain. Réalisé dans les studios Simo Zaher, il met en scène des costumes traditionnels, des danses folkloriques et des éléments visuels qui capturent toute la richesse du Sud marocain. Mais ce n’est pas tout : l’utilisation de la technologie de l’intelligence artificielle pour certaines séquences apporte une touche futuriste au projet. Une manière de montrer que le patrimoine peut parfaitement coexister avec les outils les plus modernes.
Un projet qui fait vibrer les fans et la critique
Sur les réseaux sociaux, les fans sont unanimes : "Lila Lila" est une réussite. Entre commentaires qui saluent la beauté du clip et ceux qui applaudissent la profondeur musicale du morceau, Saida Charaf semble avoir conquis son public. Certains y voient une forme de "renaissance" du patrimoine hassani, tandis que d’autres soulignent la capacité de l’artiste à rendre accessible un genre parfois méconnu des jeunes générations.
La presse, elle aussi, ne tarit pas d’éloges. Plusieurs médias ont salué l’initiative de l’album "Tourath Bladi", qui ambitionne de revisiter les trésors musicaux des différentes régions du Maroc. Un projet qui, selon eux, contribue à préserver l’identité culturelle nationale tout en l’inscrivant dans une dynamique contemporaine.












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