Dans le cadre des initiatives de développement menées par le gouvernement catalan, à travers l’Agence catalane de coopération pour le développement (ACCD), un financement de 300 000 euros a été octroyé au Maroc pour soutenir un projet destiné à renforcer la prévention et la détection de la violence numérique contre les femmes, tout en assurant un accompagnement aux victimes.
Selon des sources médiatiques espagnoles, ce projet repose sur une coopération entre des organisations internationales et locales, notamment l’association AIDA (Aide, Échange et Développement) et l’Union de l’Action Féminine (UAF).
Son objectif est de renforcer les capacités de la société marocaine à lutter contre les formes croissantes de cyberviolence visant les femmes et les filles. Il prévoit la mise en place de mécanismes de signalement et de protection, un soutien psychologique et social aux victimes, ainsi que des actions de sensibilisation. Le projet ambitionne également d’influencer les cadres législatifs et les pratiques de lutte contre la violence numérique afin d’apporter des solutions durables.
Cette initiative s’inscrit dans une volonté plus large du gouvernement catalan de renforcer ses partenariats avec les pays du sud de la Méditerranée, le Maroc étant l’un de ses principaux alliés en matière de coopération au développement. Elle reflète également l’engagement du Maroc en faveur de la justice sociale et des droits humains, avec un accent particulier sur la protection des populations vulnérables, notamment les femmes.
Cependant, cette initiative a suscité des critiques au sein de la presse ibérique. Certains médias questionnent son efficacité et regrettent qu’une partie des fonds soit allouée à des actions jugées plus théoriques que véritablement impactantes. D’autres s’interrogent sur la pertinence de consacrer des financements importants à des projets à l’étranger alors que la Catalogne elle-même fait face à des défis économiques et sociaux majeurs. Ces critiques soulignent également le risque que ces aides répondent davantage à des considérations politiques ou idéologiques qu’à un véritable impact sur le terrain.
Selon des sources médiatiques espagnoles, ce projet repose sur une coopération entre des organisations internationales et locales, notamment l’association AIDA (Aide, Échange et Développement) et l’Union de l’Action Féminine (UAF).
Son objectif est de renforcer les capacités de la société marocaine à lutter contre les formes croissantes de cyberviolence visant les femmes et les filles. Il prévoit la mise en place de mécanismes de signalement et de protection, un soutien psychologique et social aux victimes, ainsi que des actions de sensibilisation. Le projet ambitionne également d’influencer les cadres législatifs et les pratiques de lutte contre la violence numérique afin d’apporter des solutions durables.
Cette initiative s’inscrit dans une volonté plus large du gouvernement catalan de renforcer ses partenariats avec les pays du sud de la Méditerranée, le Maroc étant l’un de ses principaux alliés en matière de coopération au développement. Elle reflète également l’engagement du Maroc en faveur de la justice sociale et des droits humains, avec un accent particulier sur la protection des populations vulnérables, notamment les femmes.
Cependant, cette initiative a suscité des critiques au sein de la presse ibérique. Certains médias questionnent son efficacité et regrettent qu’une partie des fonds soit allouée à des actions jugées plus théoriques que véritablement impactantes. D’autres s’interrogent sur la pertinence de consacrer des financements importants à des projets à l’étranger alors que la Catalogne elle-même fait face à des défis économiques et sociaux majeurs. Ces critiques soulignent également le risque que ces aides répondent davantage à des considérations politiques ou idéologiques qu’à un véritable impact sur le terrain.












L'accueil

















