Sur 2M, Nizar Baraka a surtout écouté. Face à lui, un panel de jeunes venus de partout au pays : parole libre, questions cash, envies claires. On a senti une génération qui veut participer pour de vrai, pas juste applaudir depuis les gradins.

Nizar  Baraka a répondu sans détour : les partis doivent se rapprocher des jeunes, pas seulement en campagne. Proximité réelle, encadrement utile, et des portes qui s’ouvrent sur la vie publique, pas des clubs fermés. Message central : intégrer la jeunesse, maintenant, dans les lieux où ça décide.

Côté gouvernement, il a mis la barre là où elle doit être : mieux expliquer ce qui est fait, le dire simplement, assumer quand ça déraille. Transparence et honnêteté comme base de confiance — surtout avec une génération qui repère le bullshit en deux secondes. Pas de jargon, des preuves.

L’émission a servi de zone franche : préoccupations, propositions, visions d’avenir, tout a circulé dans un climat respectueux. Ça a aussi rappelé un truc essentiel : le dialogue intergénérationnel n’est pas un luxe, c’est l’outil pour construire un futur commun. On parle d’ouverture, de confiance et de participation active — bref, du sérieux.

Cap sur 2026 : ce genre d’échange compte. Le Maroc ne se fera pas sans une jeunesse impliquée, responsable et actrice des transformations économiques, sociales et politiques.

Le Parti de l’Istiqlal se place comme partenaire de cette dynamique : main tendue, écoute réelle, ambition d’un développement inclusif et durable. Maintenant, la suite se jouera sur un terrain simple : proximité, clarté, résultats. Safi.