Dans un communiqué, l’instance dirigeante du football mondial précise que son Conseil, réuni en marge de la finale intercontinentale Paris SG–Flamengo à Doha, a validé « une contribution financière record de 727 millions de dollars ». Ce montant représente une hausse de 50 % par rapport à l’enveloppe allouée lors du Mondial 2022 au Qatar, une augmentation proportionnelle à l’élargissement du tournoi de 32 à 48 équipes.
Chaque sélection bénéficiera d’une dotation de 1,5 million de dollars destinée à couvrir les frais de préparation. La majeure partie de l’enveloppe, soit 655 millions de dollars, sera toutefois consacrée aux primes de performance.
Ainsi, le futur champion du monde percevra 50 millions de dollars, tandis que le finaliste empochera 33 millions. Les montants décroîtront progressivement jusqu’aux 9 millions de dollars attribués aux 12 équipes éliminées dès le premier tour.
À titre de comparaison, lors de la Coupe du monde 2022, l’Argentine, sacrée championne, avait reçu 42 millions de dollars, contre 30 millions pour la France, finaliste. Les équipes éliminées au premier tour avaient, quant à elles, touché 9 millions de dollars chacune.












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