Direction quarts : le Brésil en ligne de mire
Dès le coup d’envoi, les joueurs de Nabil Baha ont imposé un pressing haut. Ziyad Baha ouvre le score à la 29e minute d’une tête puissante, après plusieurs alertes marocaines. Le jeu est fluide, les combinaisons passent, et la domination se confirme. Pourtant, juste avant la pause, un penalty accordé après intervention de la VAR à la 90e+2 (temps additionnel prolongé en raison de nombreux arrêts) permet aux Maliens d’égaliser. Boumba transforme, mais le Maroc ne tremble pas longtemps : à la 45e+11, Ismaïl El Aoud redonne l’avantage sur une superbe tête.
Au retour des vestiaires, le Maroc subit pendant quelques minutes. Le Mali pousse, mais la défense tient. Sur une contre-attaque à la 66e minute, El Aoud surgit à nouveau pour inscrire son doublé, profitant d’un ballon repoussé pour envoyer une frappe sèche au fond.
Le Mali réclame un second penalty à la 62e minute pour une main supposée, mais la VAR confirme la décision initiale : pas de faute. Le Maroc respire et reprend le contrôle total du jeu.
Dans les arrêts de jeu, Berthe réduit l’écart sur une frappe lointaine, mais rien n’y fait. Les Lionceaux restent solides jusqu’au bout et s’offrent une qualification historique.
La suite s’annonce encore plus relevée : le Maroc affrontera le Brésil, tombeur de la France. Une affiche XXL, mais les Lionceaux arrivent avec des certitudes et une dynamique qui donne envie d’y croire.












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