Poème à écouter en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
Ce sont celles d’un père ou d’une mère, le jour où ils donnent la main de leur fille en mariage.
Des larmes douces, mêlées de fierté, d’amour et de nostalgie.
Elles coulent sans bruit,
Parce qu’au fond, ce n’est pas une séparation,
C’est une transmission.
Le cœur se serre, bien sûr,
Mais il s’ouvre aussi,
À une nouvelle famille, à un nouvel amour.
Ces larmes-là sont uniques.
Elles racontent des années de rires, de chagrins partagés,
Des nuits sans sommeil, des premiers pas, des premiers mots,
Et ce moment solennel,
Où la petite fille devient femme.
Oui, il existe des larmes de bonheur ce jour-là.
Et elles sont les plus pures qui soient.
Ce poème célèbre les larmes de bonheur qu’un parent verse le jour du mariage de sa fille.
Le mariage n’est pas une fin, mais une nouvelle étape, un passage d’une main à une autre, dans la confiance et l’espoir. Le parent ne perd pas sa fille, il la voit s’épanouir dans une autre lumière, créer un foyer, écrire son propre chapitre. Ces larmes discrètes et sincères expriment tout ce que les mots ne peuvent dire. Elles témoignent d’un amour qui ne s’éteint pas, mais qui se transforme, grandit et accueille. Ce sont là des larmes rares, précieuses, douces comme un dernier baiser d’enfance.












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