Continuer à produire comme hier, c’est accepter de disparaître demain.
Le 1er janvier prochain, L’ODJ franchit un cap inédit avec le lancement de LODJ.ai, un portail mobile nouvelle génération. Une plateforme capable de sélectionner les sujets, de les rédiger dans le strict respect de la charte éditoriale, de générer automatiquement leurs visuels d’illustration, de les décliner en plusieurs langues et de les publier aussi bien en texte qu’en version audio. Le tout, sans intervention humaine. 100 % autonome.
Ce n’est pas un gadget technologique ni une démonstration de force gratuite. C’est une réponse frontale à une réalité que le secteur des médias peine encore à regarder en face : l’information est désormais instantanée, mobile, multiformat et multilingue. Continuer à produire comme hier, c’est accepter de disparaître demain.
Avec LODJ.ai, la rédaction devient un système intelligent : elle hiérarchise, contextualise, écrit, illustre et diffuse en continu. L’humain ne disparaît pas, il change de place. Il fixe la ligne, la vision, l’éthique. La machine exécute, sans fatigue, sans biais émotionnel, sans rupture de rythme.
Ce projet pose évidemment des questions. Sur le métier, sur la valeur ajoutée journalistique, sur la frontière entre automatisation et éditorialisation. Mais refuser ces questions, c’est laisser d’autres y répondre à notre place. L’ODJ Média fait le choix inverse : expérimenter, assumer, encadrer.
Le rendez-vous est pris. 1er janvier.
Ce n’est pas le futur qui arrive.
On est déjà demain.
Ce n’est pas un gadget technologique ni une démonstration de force gratuite. C’est une réponse frontale à une réalité que le secteur des médias peine encore à regarder en face : l’information est désormais instantanée, mobile, multiformat et multilingue. Continuer à produire comme hier, c’est accepter de disparaître demain.
Avec LODJ.ai, la rédaction devient un système intelligent : elle hiérarchise, contextualise, écrit, illustre et diffuse en continu. L’humain ne disparaît pas, il change de place. Il fixe la ligne, la vision, l’éthique. La machine exécute, sans fatigue, sans biais émotionnel, sans rupture de rythme.
Ce projet pose évidemment des questions. Sur le métier, sur la valeur ajoutée journalistique, sur la frontière entre automatisation et éditorialisation. Mais refuser ces questions, c’est laisser d’autres y répondre à notre place. L’ODJ Média fait le choix inverse : expérimenter, assumer, encadrer.
Le rendez-vous est pris. 1er janvier.
Ce n’est pas le futur qui arrive.
On est déjà demain.












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