Diktat sur la politique monétaire !?
Pour éviter davantage de confusion et d'instabilité pour l'économie mondiale , Christine Lagarde , Présidente de la Banque centrale européenne , défend l'indépendance des banques centrales
La présidente de la BCE rappelle que l’indépendance de la Réserve fédérale est essentielle pour garantir la stabilité des prix aux États-Unis. Selon elle, une remise en cause de cet équilibre aurait des conséquences bien au-delà des frontières américaines.
La présidente de la BCE rappelle que l’indépendance de la Réserve fédérale est essentielle pour garantir la stabilité des prix aux États-Unis. Selon elle, une remise en cause de cet équilibre aurait des conséquences bien au-delà des frontières américaines.
La présidente de la BCE Christine Lagarde a jugé , en effet , qu'une prise de contrôle de la politique monétaire américaine par Donald Trump serait «un danger très sérieux» pour l'économie américaine et mondiale.
«S'il y arrivait, c'est un danger très sérieux pour l'économie américaine et pour l'économie mondiale», a-t-elle affirmé sur Radio Classique, rappelant que la politique de la banque centrale américaine (Fed) a évidemment des effets sur les États-Unis pour maintenir la stabilité des prix et pour assurer l'emploi optimal».
«Si elle dépendait du diktat de tel ou tel», a continué Christine Lagarde, «l'équilibre de l'économie américaine, et par voie de conséquence les effets que ça aurait dans le monde entier seraient très préoccupants».
Christine Lagarde a cependant ajouté que ce sera «très difficile» pour Donald Trump de parvenir à une telle situation, parce que «la Cour suprême des États-Unis qui est largement respectée dans le pays et dont j’espère qu’elle sera respectée par lui aussi, a précisément indiqué qu’un gouverneur de la Fed ne peut être révoqué que pour faute grave».
«Il faut quand même pousser le bouchon très loin pour être révoqué pour faute grave», a-t-elle estimé. «Donc je pense que ça sera très difficile pour lui d’arriver parmi le conseil des gouverneurs qui rassemble les sept qui sont à Washington» plus ceux des banques régionales américaines «à faire complètement tourner la majorité», a ajouté la présidente de la BCE .
Il faut souligner qu" un gouverneur de la Fed, annoncè comme possible successeur de Powell, réclame une baisse de taux comme Trump et que d' autres assurent que la Fed restera indépendante !
Attaques répétées de Trump contre le président de la Fed
Donald Trump, qui estime avoir son mot à dire sur la politique monétaire, et souhaite régulièrement que la Fed baisse ses taux d’intérêt, tente de saper certains de ses plus hauts responsables. Après avoir invectivé pendant des mois le président de l’institution, Jerome Powell, qu’il avait pourtant lui-même nommé à ce poste pendant son premier mandat, le président américain essaie désormais de faire révoquer une des gouverneures, Lisa Cook, accusée par le camp présidentiel d’avoir menti pour obtenir des emprunts immobiliers à taux plus favorables.
Le président américain tente actuellement de révoquer la gouverneure de la Fed Lisa Cook, accusée par le camp présidentiel d’avoir menti pour obtenir des emprunts immobiliers à des taux plus favorables. L’affaire est devant la justice américaine. Le départ de la responsable offrirait au chef de l’État la possibilité de nommer une nouvelle personnalité partageant ses idées !
«S'il y arrivait, c'est un danger très sérieux pour l'économie américaine et pour l'économie mondiale», a-t-elle affirmé sur Radio Classique, rappelant que la politique de la banque centrale américaine (Fed) a évidemment des effets sur les États-Unis pour maintenir la stabilité des prix et pour assurer l'emploi optimal».
«Si elle dépendait du diktat de tel ou tel», a continué Christine Lagarde, «l'équilibre de l'économie américaine, et par voie de conséquence les effets que ça aurait dans le monde entier seraient très préoccupants».
Christine Lagarde a cependant ajouté que ce sera «très difficile» pour Donald Trump de parvenir à une telle situation, parce que «la Cour suprême des États-Unis qui est largement respectée dans le pays et dont j’espère qu’elle sera respectée par lui aussi, a précisément indiqué qu’un gouverneur de la Fed ne peut être révoqué que pour faute grave».
«Il faut quand même pousser le bouchon très loin pour être révoqué pour faute grave», a-t-elle estimé. «Donc je pense que ça sera très difficile pour lui d’arriver parmi le conseil des gouverneurs qui rassemble les sept qui sont à Washington» plus ceux des banques régionales américaines «à faire complètement tourner la majorité», a ajouté la présidente de la BCE .
Il faut souligner qu" un gouverneur de la Fed, annoncè comme possible successeur de Powell, réclame une baisse de taux comme Trump et que d' autres assurent que la Fed restera indépendante !
Attaques répétées de Trump contre le président de la Fed
Donald Trump, qui estime avoir son mot à dire sur la politique monétaire, et souhaite régulièrement que la Fed baisse ses taux d’intérêt, tente de saper certains de ses plus hauts responsables. Après avoir invectivé pendant des mois le président de l’institution, Jerome Powell, qu’il avait pourtant lui-même nommé à ce poste pendant son premier mandat, le président américain essaie désormais de faire révoquer une des gouverneures, Lisa Cook, accusée par le camp présidentiel d’avoir menti pour obtenir des emprunts immobiliers à taux plus favorables.
Le président américain tente actuellement de révoquer la gouverneure de la Fed Lisa Cook, accusée par le camp présidentiel d’avoir menti pour obtenir des emprunts immobiliers à des taux plus favorables. L’affaire est devant la justice américaine. Le départ de la responsable offrirait au chef de l’État la possibilité de nommer une nouvelle personnalité partageant ses idées !
Alors que la Banque d'Angleterre abaisse son taux directeur face à une économie à la peine , le dollar est plombé par les nouvelles attaques contre l’indépendance de la Fed
Le gouverneur de la Banque d’Angleterre , quant à lui, s'est dit «très inquiet» des pressions de Donald Trump sur la Fed !
Le gouverneur de la Banque d’Angleterre (BoE) , Andrew Bailey , s’est dit «très inquiet» des menaces sur l’indépendance de la Réserve fédérale (Fed) face aux dernières pressions exercées par le président américain Donald Trump.
«Il s’agit d’une situation très grave», a déclaré Andrew Bailey au Parlement britannique, rejoignant des inquiétudes déjà exprimées par la présidente de la BCE Christine Lagarde.
«Il s’agit d’une situation très grave, et je suis très préoccupé», a déclaré Andrew Bailey au Parlement britannique, rejoignant les inquiétudes exprimées lundi par la présidente de la Banque centrale européenne (BCE) Christine Lagarde.
Donald Trump s’est également attaqué à plusieurs reprises au patron de la Fed, Jerome Powell, qui tarde selon lui à baisser les taux américains. La Fed est une «banque centrale de premier plan», qui «s’est forgée une solide réputation d’indépendance et de capacité décisionnelle», a rappelé le gouverneur de la Banque d’Angleterre.
Toucher à cette indépendance constitue selon lui «une voie très dangereuse».«Je prends donc très au sérieux les menaces qui pèsent sur ce sujet», a-t-il indiqué. Plus tôt cette semaine, la présidente de la BCE Christine Lagarde avait jugé qu’une prise de contrôle de la politique monétaire américaine par Donald Trump serait «un danger très sérieux» pour l’économie américaine et mondiale.
Si la Fed a laissé ses taux inchangés en juillet dans une fourchette entre 4,25% et 4,50%, le marché estime qu’elle devrait les abaisser à l’issue de sa prochaine réunion des 16 et 17 septembre. De son côté, la Banque d’Angleterre a réduit son taux directeur à 4% en août, à l’issue d’un vote serré, pour soutenir une économie à la peine.
La réserve fédérale a perdu le contrôle sur le marché du travail !
Déficit commercial qui se creuse, créations d'emplois divisées par deux... Les mauvais chiffres s'accumulent pour Donald Trump !
La balance commerciale américaine a vu son déficit s'accroître de 78 milliards de dollars en juillet mais ce sont surtout les créations d'emplois qui inquiètent. En août, 54.000 emplois ont été créés dans le secteur privé, contre 106.000 en juillet, selon l'enquête mensuelle ADP/Stanford Lab
Les mauvaises nouvelles pleuvent pour Donald Trump. Jeudi dernier ,deux mauvais indicateurs sont venus ternir son bilan des six premiers mois de mandat. D'abord sur le front de l'emploi. Les créations ont nettement ralenti dans le secteur privé aux Etats-Unis en août, selon une enquête publiée jeudi à la veille de la publication des chiffres officiels sur le marché du travail américain.
La publication sur l'emploi privé est considérée comme un baromètre plus ou moins fiable des chiffres officiels, qui seront publiés vendredi.Le mois dernier, 54.000 emplois ont été créés dans le secteur privé, contre 106.000 en juillet, selon l'enquête mensuelle ADP/Stanford Lab.
Les marchés s'attendaient à environ 75.000 créations d'emploi, selon le consensus publié par MarketWatch."L'année a démarré avec une forte croissance de l'emploi, mais cette dynamique a été freinée par l'incertitude", observe Nela Richardson, l'économiste responsable de l'enquête, citée dans le communiqué.Ensuite, c'est la balance commerciale de juillet qui a été dévoilée.
Or le déficit des Etats-Unis s'est de nouveau creusé au mois de juillet, sous l'effet d'une hausse notable des importations, juste avant l'entrée en vigueur des droits de douane présentés improprement comme "réciproques" par le président américain Donald Trump.
Au mois de juillet, la balance commerciale américaine des biens et services a vu son déficit progresser de 78,3 milliards de dollars, selon les données publiées jeudi par le département du Commerce, soit une hausse de 32,5% par rapport au mois de juin.Importations en hausse .
Dans le détail, les importations ont progressé de 5,9%, alors que les exportations n'ont enregistré qu'une légère hausse, de 0,3%, sur la même période.
La hausse se concentre principalement dans les équipements pour les entreprises, qui concernent les ordinateurs, équipements télécoms ou machines-outils, ainsi que dans les matières premières, l'or en tête, un phénomène déjà observé lors de la précédente forte hausse des importations par anticipation avant les nouveaux droits de douane, en mars dernier.
Si l'on s'attarde sur la répartition géographique, le déficit commercial avec la Chine est reparti en hausse, à 14,7 milliards de dollars, mais n'est plus le plus important. Cette tendance se confirme depuis plusieurs mois désormais et souligne le ralentissement des échanges entre les deux premières puissances économiques mondiales.
Le Mexique (16,6 milliards de dollars) et surtout le Vietnam (16,1 milliards de dollars) paraissent les pays qui profitent le plus de la réorientation des flux commerciaux vers les Etats-Unis, le déficit commercial avec l'Union européenne continuant lui de se réduire (8,6 milliards de dollars).
Le gouverneur de la Banque d’Angleterre (BoE) , Andrew Bailey , s’est dit «très inquiet» des menaces sur l’indépendance de la Réserve fédérale (Fed) face aux dernières pressions exercées par le président américain Donald Trump.
«Il s’agit d’une situation très grave», a déclaré Andrew Bailey au Parlement britannique, rejoignant des inquiétudes déjà exprimées par la présidente de la BCE Christine Lagarde.
«Il s’agit d’une situation très grave, et je suis très préoccupé», a déclaré Andrew Bailey au Parlement britannique, rejoignant les inquiétudes exprimées lundi par la présidente de la Banque centrale européenne (BCE) Christine Lagarde.
Donald Trump s’est également attaqué à plusieurs reprises au patron de la Fed, Jerome Powell, qui tarde selon lui à baisser les taux américains. La Fed est une «banque centrale de premier plan», qui «s’est forgée une solide réputation d’indépendance et de capacité décisionnelle», a rappelé le gouverneur de la Banque d’Angleterre.
Toucher à cette indépendance constitue selon lui «une voie très dangereuse».«Je prends donc très au sérieux les menaces qui pèsent sur ce sujet», a-t-il indiqué. Plus tôt cette semaine, la présidente de la BCE Christine Lagarde avait jugé qu’une prise de contrôle de la politique monétaire américaine par Donald Trump serait «un danger très sérieux» pour l’économie américaine et mondiale.
Si la Fed a laissé ses taux inchangés en juillet dans une fourchette entre 4,25% et 4,50%, le marché estime qu’elle devrait les abaisser à l’issue de sa prochaine réunion des 16 et 17 septembre. De son côté, la Banque d’Angleterre a réduit son taux directeur à 4% en août, à l’issue d’un vote serré, pour soutenir une économie à la peine.
La réserve fédérale a perdu le contrôle sur le marché du travail !
Déficit commercial qui se creuse, créations d'emplois divisées par deux... Les mauvais chiffres s'accumulent pour Donald Trump !
La balance commerciale américaine a vu son déficit s'accroître de 78 milliards de dollars en juillet mais ce sont surtout les créations d'emplois qui inquiètent. En août, 54.000 emplois ont été créés dans le secteur privé, contre 106.000 en juillet, selon l'enquête mensuelle ADP/Stanford Lab
Les mauvaises nouvelles pleuvent pour Donald Trump. Jeudi dernier ,deux mauvais indicateurs sont venus ternir son bilan des six premiers mois de mandat. D'abord sur le front de l'emploi. Les créations ont nettement ralenti dans le secteur privé aux Etats-Unis en août, selon une enquête publiée jeudi à la veille de la publication des chiffres officiels sur le marché du travail américain.
La publication sur l'emploi privé est considérée comme un baromètre plus ou moins fiable des chiffres officiels, qui seront publiés vendredi.Le mois dernier, 54.000 emplois ont été créés dans le secteur privé, contre 106.000 en juillet, selon l'enquête mensuelle ADP/Stanford Lab.
Les marchés s'attendaient à environ 75.000 créations d'emploi, selon le consensus publié par MarketWatch."L'année a démarré avec une forte croissance de l'emploi, mais cette dynamique a été freinée par l'incertitude", observe Nela Richardson, l'économiste responsable de l'enquête, citée dans le communiqué.Ensuite, c'est la balance commerciale de juillet qui a été dévoilée.
Or le déficit des Etats-Unis s'est de nouveau creusé au mois de juillet, sous l'effet d'une hausse notable des importations, juste avant l'entrée en vigueur des droits de douane présentés improprement comme "réciproques" par le président américain Donald Trump.
Au mois de juillet, la balance commerciale américaine des biens et services a vu son déficit progresser de 78,3 milliards de dollars, selon les données publiées jeudi par le département du Commerce, soit une hausse de 32,5% par rapport au mois de juin.Importations en hausse .
Dans le détail, les importations ont progressé de 5,9%, alors que les exportations n'ont enregistré qu'une légère hausse, de 0,3%, sur la même période.
La hausse se concentre principalement dans les équipements pour les entreprises, qui concernent les ordinateurs, équipements télécoms ou machines-outils, ainsi que dans les matières premières, l'or en tête, un phénomène déjà observé lors de la précédente forte hausse des importations par anticipation avant les nouveaux droits de douane, en mars dernier.
Si l'on s'attarde sur la répartition géographique, le déficit commercial avec la Chine est reparti en hausse, à 14,7 milliards de dollars, mais n'est plus le plus important. Cette tendance se confirme depuis plusieurs mois désormais et souligne le ralentissement des échanges entre les deux premières puissances économiques mondiales.
Le Mexique (16,6 milliards de dollars) et surtout le Vietnam (16,1 milliards de dollars) paraissent les pays qui profitent le plus de la réorientation des flux commerciaux vers les Etats-Unis, le déficit commercial avec l'Union européenne continuant lui de se réduire (8,6 milliards de dollars).
A l'équilibre avec la France
Concernant les pays européens, le déficit continue de se concentrer sur les mêmes pays, d'abord l'Allemagne, l'Irlande et l'Italie, alors que les échanges avec la France sont dorénavant quasiment à l'équilibre (300 millions de dollars de déficit commercial américain).
Si les chiffres de la balance commerciale concernent une période antérieure à l'entrée des droits de douanes, ce sont bien les chiffres de l'emploi qui vont inquiéter Donald Trump. Selon Nela Richardson, "plusieurs facteurs peuvent expliquer le ralentissement des embauches, notamment des pénuries de main-d'oeuvre, la frilosité des consommateurs ou les bouleversements liés à l'IA" (intelligence artificielle).
Les données de vendredi seront scrutées de près, le rapport précédent ayant brossé un tableau négatif et mis en colère le président Donald Trump, qui a limogé la responsable du service statistiques.
Selon le rapport ADP, la plupart des créations d'emploi sont restées concentrées dans les secteurs des loisirs et de l'hôtellerie en cette période estivale (50.0000)
A l'inverse, des emplois ont été détruits dans les secteurs de la logistique et de l'industrie, chahutés par l'offensive protectionniste du président Donald Trump qui a significativement relevé les droits de douane.
Trump coupe 5 milliards de dollars d'aide internationale, renforçant le risque d'un shutdown
La Maison Blanche avait annoncé vendredi que Donald Trump demandait au Congrès de supprimer 4,9 milliards de dollars supplémentaires d'aide internationale. Une mesure qui accroît considérablement le risque d'une paralysie budgétaire de l'État fédéral à la fin septembre.
Avec AFP
Si les chiffres de la balance commerciale concernent une période antérieure à l'entrée des droits de douanes, ce sont bien les chiffres de l'emploi qui vont inquiéter Donald Trump. Selon Nela Richardson, "plusieurs facteurs peuvent expliquer le ralentissement des embauches, notamment des pénuries de main-d'oeuvre, la frilosité des consommateurs ou les bouleversements liés à l'IA" (intelligence artificielle).
Les données de vendredi seront scrutées de près, le rapport précédent ayant brossé un tableau négatif et mis en colère le président Donald Trump, qui a limogé la responsable du service statistiques.
Selon le rapport ADP, la plupart des créations d'emploi sont restées concentrées dans les secteurs des loisirs et de l'hôtellerie en cette période estivale (50.0000)
A l'inverse, des emplois ont été détruits dans les secteurs de la logistique et de l'industrie, chahutés par l'offensive protectionniste du président Donald Trump qui a significativement relevé les droits de douane.
Trump coupe 5 milliards de dollars d'aide internationale, renforçant le risque d'un shutdown
La Maison Blanche avait annoncé vendredi que Donald Trump demandait au Congrès de supprimer 4,9 milliards de dollars supplémentaires d'aide internationale. Une mesure qui accroît considérablement le risque d'une paralysie budgétaire de l'État fédéral à la fin septembre.
Maintenant, pour conclure, pourquoi et comment Donald Trump veut avoir le contrôle de la Fed ?
Imposer une baisse des taux d'intérêts, et devenir le maître de la politique monétaire permettrait au président américain de jouer au poker avec la dette américaine et au Monopoly avec les marchés boursiers et d'en tirer profit au maximum.
Dans les faits , l'Amérique ne maîtrise plus sa dette colossale et l'éventualité d'un effondrement du dollar et des cours boursiers explique cet acharnement du locataire de la Maison Blanche.
Ce dernier compte tirer profit de la conjoncture et la géopolitique qu'il impose à la planète, comme tout Cow-boy qui se respecte, et après moi le déluge.!
Imposer une baisse des taux d'intérêts, et devenir le maître de la politique monétaire permettrait au président américain de jouer au poker avec la dette américaine et au Monopoly avec les marchés boursiers et d'en tirer profit au maximum.
Dans les faits , l'Amérique ne maîtrise plus sa dette colossale et l'éventualité d'un effondrement du dollar et des cours boursiers explique cet acharnement du locataire de la Maison Blanche.
Ce dernier compte tirer profit de la conjoncture et la géopolitique qu'il impose à la planète, comme tout Cow-boy qui se respecte, et après moi le déluge.!
Avec AFP












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