Les commerçants du marché de gros des fruits et légumes de Casablanca se retrouvent dans une situation tendue, marquée par des accusations graves qui remettent en question la gestion et l’éthique de certaines pratiques internes. Leur appel à la mobilisation et à l'organisation de manifestations reflète une frustration collective face à des inégalités perçues et à ce qu’ils qualifient de « mauvaises gestions ». Ces accusations incluent notamment l’imposition de frais de stationnement jugés excessifs pour les transporteurs, des manipulations présumées des revenus ainsi que des abus liés au détournement des taxes fiscales et à l’exploitation illégitime du domaine public.
Ces commerçants dénoncent une montée excessive des frais liés à leur activité sur le marché, des coûts qui sont inévitablement répercutés sur les prix finaux des produits. Cela pose également la question de l’impact sur les consommateurs finaux, contraints de payer des prix plus élevés pour des produits de base comme les fruits et légumes. Les accusations tournent aussi autour de la présence, au sein de la direction, de responsables soupçonnés de privilégier leurs propres intérêts en manipulant les conventions, contrôlant les prix, et favorisant un système qui ne profite pas à l’ensemble des acteurs mais à un groupe restreint.
Le syndicat des commerçants, dans son communiqué, réclame clairement une transparence accrue avec l’ouverture d’une enquête qui permettrait de démasquer les pratiques douteuses et de traduire en justice les personnes responsables de ces actes. Ce communiqué appelle à une refonte complète de la gestion du marché et envisage même un changement de direction comme indispensable pour ramener la confiance et rétablir une gestion équitable et transparente.
Cette situation met en lumière des enjeux plus larges sur la gouvernance des infrastructures publiques et sur la lutte contre la corruption dans des secteurs vitaux de l’économie marocaine. Les conséquences d’une telle crise affectent non seulement les commerçants directement concernés, mais également les consommateurs et les acteurs en amont de la chaîne d’approvisionnement, comme les agriculteurs et les transporteurs.
Ces commerçants dénoncent une montée excessive des frais liés à leur activité sur le marché, des coûts qui sont inévitablement répercutés sur les prix finaux des produits. Cela pose également la question de l’impact sur les consommateurs finaux, contraints de payer des prix plus élevés pour des produits de base comme les fruits et légumes. Les accusations tournent aussi autour de la présence, au sein de la direction, de responsables soupçonnés de privilégier leurs propres intérêts en manipulant les conventions, contrôlant les prix, et favorisant un système qui ne profite pas à l’ensemble des acteurs mais à un groupe restreint.
Le syndicat des commerçants, dans son communiqué, réclame clairement une transparence accrue avec l’ouverture d’une enquête qui permettrait de démasquer les pratiques douteuses et de traduire en justice les personnes responsables de ces actes. Ce communiqué appelle à une refonte complète de la gestion du marché et envisage même un changement de direction comme indispensable pour ramener la confiance et rétablir une gestion équitable et transparente.
Cette situation met en lumière des enjeux plus larges sur la gouvernance des infrastructures publiques et sur la lutte contre la corruption dans des secteurs vitaux de l’économie marocaine. Les conséquences d’une telle crise affectent non seulement les commerçants directement concernés, mais également les consommateurs et les acteurs en amont de la chaîne d’approvisionnement, comme les agriculteurs et les transporteurs.












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