Un nouvel écrin pour le patrimoine cinématographique marocain
Le Maroc franchit une nouvelle étape dans la préservation et la valorisation de son patrimoine cinématographique avec l’inauguration officielle de la Cinémathèque marocaine, située au sein du Centre cinématographique marocain (CCM) à Rabat.
Cette cérémonie, qui s'est tenue le 15 février, a été présidée par Mohamed Mehdi Bensaid, ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, en présence de nombreuses figures emblématiques du monde de l’art et de la culture.
Inspirée des grandes cinémathèques internationales, cette institution ambitionne de devenir un véritable sanctuaire du cinéma national.
Elle se donne pour mission de conserver, restaurer et promouvoir les œuvres cinématographiques marocaines, tout en offrant au public une programmation variée incluant des films internationaux, arabes et africains.
Cette cérémonie, qui s'est tenue le 15 février, a été présidée par Mohamed Mehdi Bensaid, ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, en présence de nombreuses figures emblématiques du monde de l’art et de la culture.
Inspirée des grandes cinémathèques internationales, cette institution ambitionne de devenir un véritable sanctuaire du cinéma national.
Elle se donne pour mission de conserver, restaurer et promouvoir les œuvres cinématographiques marocaines, tout en offrant au public une programmation variée incluant des films internationaux, arabes et africains.
Un projet ambitieux pour préserver la mémoire cinématographique
Lors de son discours inaugural, Mohamed Mehdi Bensaid a souligné l’importance stratégique de la Cinémathèque marocaine dans le paysage culturel national.
Il a mis en avant la volonté du ministère de nouer des partenariats permettant la restauration des films et documents audiovisuels marocains, afin de les sauvegarder et de les transmettre aux générations futures.
Selon le ministre, cette initiative répond à une demande croissante des jeunes marocains désireux de découvrir l’histoire du cinéma national.
En créant un espace de référence pour les passionnés et les chercheurs, la Cinémathèque s’impose comme un vecteur essentiel de transmission du savoir et de valorisation du patrimoine cinématographique.
Il a mis en avant la volonté du ministère de nouer des partenariats permettant la restauration des films et documents audiovisuels marocains, afin de les sauvegarder et de les transmettre aux générations futures.
Selon le ministre, cette initiative répond à une demande croissante des jeunes marocains désireux de découvrir l’histoire du cinéma national.
En créant un espace de référence pour les passionnés et les chercheurs, la Cinémathèque s’impose comme un vecteur essentiel de transmission du savoir et de valorisation du patrimoine cinématographique.
Une programmation riche pour célébrer le cinéma
Narjiss Nejjar, directrice de la Cinémathèque marocaine, a détaillé les grandes orientations de cette nouvelle structure.
Elle a insisté sur trois axes fondamentaux : la conservation des œuvres, leur transmission au public et l’inspiration qu’elles peuvent susciter chez les nouvelles générations de cinéastes.
Dans cette optique, la Cinémathèque marocaine lance, dès le mois d’avril, un "marathon cinématographique" de 100 jours, au cours duquel seront projetés 100 films illustrant un siècle de production cinématographique marocaine, arabe, africaine et internationale.
Cette initiative vise à offrir une plongée immersive dans l’évolution du septième art et à favoriser le dialogue entre les œuvres d’hier et celles d’aujourd’hui.
Narjiss Nejjar a exprimé son souhait de voir cette institution devenir un phare du rayonnement culturel et artistique, à même d’encourager la créativité et de nourrir l’amour du cinéma au Maroc.
Elle a insisté sur trois axes fondamentaux : la conservation des œuvres, leur transmission au public et l’inspiration qu’elles peuvent susciter chez les nouvelles générations de cinéastes.
Dans cette optique, la Cinémathèque marocaine lance, dès le mois d’avril, un "marathon cinématographique" de 100 jours, au cours duquel seront projetés 100 films illustrant un siècle de production cinématographique marocaine, arabe, africaine et internationale.
Cette initiative vise à offrir une plongée immersive dans l’évolution du septième art et à favoriser le dialogue entre les œuvres d’hier et celles d’aujourd’hui.
Narjiss Nejjar a exprimé son souhait de voir cette institution devenir un phare du rayonnement culturel et artistique, à même d’encourager la créativité et de nourrir l’amour du cinéma au Maroc.
Une inauguration marquée par la présence de personnalités éminentes
La cérémonie d’ouverture a réuni un parterre de figures influentes du monde de la culture et du cinéma.
Parmi elles, M. André Azoulay, conseiller de Sa Majesté le Roi, qui a honoré l’événement de sa présence, soulignant ainsi l’importance accordée par le Maroc à la préservation et à la promotion de son patrimoine cinématographique.
L’inauguration de la Cinémathèque marocaine marque donc une étape clé dans la valorisation du cinéma national.
Elle s’impose comme un lieu de mémoire et de découverte, destiné à raviver l’intérêt du public pour le septième art et à offrir aux cinéastes un espace où leurs œuvres pourront être redécouvertes et célébrées.
Parmi elles, M. André Azoulay, conseiller de Sa Majesté le Roi, qui a honoré l’événement de sa présence, soulignant ainsi l’importance accordée par le Maroc à la préservation et à la promotion de son patrimoine cinématographique.
L’inauguration de la Cinémathèque marocaine marque donc une étape clé dans la valorisation du cinéma national.
Elle s’impose comme un lieu de mémoire et de découverte, destiné à raviver l’intérêt du public pour le septième art et à offrir aux cinéastes un espace où leurs œuvres pourront être redécouvertes et célébrées.












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