M. Baraka a expliqué que cette approche permet d’optimiser l’utilisation des ressources et de répondre aux attentes des populations locales tout en améliorant la réalisation des projets d'infrastructure. Il a également mis en avant la nécessité d'une meilleure coordination des efforts régionaux pour aligner les investissements sur les priorités locales, promouvant ainsi un développement harmonieux à travers le Royaume.

Le ministre a souligné la nouvelle méthode adoptée par le ministère pour le développement des infrastructures. Celle-ci repose sur des contrats-programmes avec les régions, visant à améliorer la réalisation des projets. "Cette nouvelle approche vise à résoudre les problèmes de priorisation, de temporalité et de synchronisation des projets, tout en impliquant les directeurs régionaux dans la gestion des marchés", a-t-il précisé.

En ce qui concerne le financement, M. Baraka a indiqué que les régions peuvent désormais recourir à l'endettement et aux marchés financiers pour obtenir des fonds supplémentaires. "Cette mesure vise à lever les obstacles financiers au développement et à garantir une complémentarité entre les budgets régionaux, les financements étatiques et les ressources propres des provinces", a-t-il ajouté.
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