Dans un message adressé aux participants au symposium international, organisé ce jeudi à Rabat à l’occasion du 75ème anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’Homme, sur le thème « 30 engagements pour la dignité humaine: l’idéal humaniste universel est-il inachevé? », SM le Roi a attiré l’attention sur le fait que la communauté internationale n’a pas encore réussi à mettre en œuvre l’ensemble des principes énoncés dans cette Déclaration.
Le 75ème anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’Homme est célébré dans un contexte marqué par des tensions et des périls qui menacent la sécurité, la stabilité et la prospérité des peuples, a tenu à rappeler SM le Roi.
« L’importance de la conférence qui vous réunit aujourd’hui découle du besoin impérieux de rappeler, à nouveau, la nécessité de renouveler un engagement universel en faveur de la protection des droits des individus et des collectivités, plus particulièrement de ceux des catégories en situation de précarité », a relevé le Souverain.
Cette exigence, a ajouté le Roi, « s’impose d’autant plus que nous vivons dans un monde agité par des tensions et des violations récurrentes en contradiction avec les principes et les idéaux universels fondateurs de la Déclaration ».
Le Souverain a noté que cette célébration constitue également un moment opportun pour dresser le bilan des réalisations en la matière, identifier les défaillances et les anomalies ayant entaché le processus de sauvegarde des acquis ainsi que les défis qui, à ce jour, empêchent la communauté internationale de promouvoir, d’une manière globale, les questions relatives aux droits de l’Homme.
Face à ces enjeux, le Maroc a fait le choix de se frayer son propre chemin en matière des droits humains, a poursuivi le Roi, soulignant que par ce parcours spécifique et en perpétuelle évolution, le Royaume a marqué de son sceau les expériences internationales dans ce domaine.
Le Souverain a dans ce contexte fait observer que l’engagement du Royaume en faveur de la promotion des droits de l’Homme au niveau national ne se limite pas à leur simple consécration constitutionnelle, mais « devient également un pilier des politiques publiques et un paramètre essentiel à prendre en compte dans les choix stratégiques, aussi bien économiques, sociaux, culturels qu’environnementaux ».
« Notre attachement immuable à la défense et à la consécration de ces droits n’a d’égal que Notre détermination inébranlable à poursuivre l’œuvre de consolidation et de perfectionnement de l’Etat de droit et de celle du renforcement des institutions, en tant que choix volontaire et souverain », a indiqué le Roi, précisant que le Royaume veille « à conforter ces acquis, concomitamment à Notre interaction continue avec les nouveautés en matière des droits humains, aussi bien au plan national que dans le cadre du système des droits de l’Homme de l’ONU ».
Dans ce contexte, le Roi a fait remarquer qu’en dépit des réalisations accomplies en matière de droits humains, leur importance essentielle et le travail sérieux qu’ils requièrent « appellent de nous tous un engagement accru ».
« Cette action résolue permettra, dans le respect des spécificités et des constantes nationales, de réaliser ce qui est urgent au présent et d’anticiper ce qui est possible à l’avenir », a soutenu le Souverain, affirmant sous cet angle que les droits politiques et civils ne prendront pleinement leur sens que s’ils s’articulent avec la promotion des droits économiques, sociaux, culturels et environnementaux.
C’est dans cet esprit, a précisé le Roi, que le Maroc a inauguré une étape nouvelle marquée par des réformes structurelles, placées en tête des priorités des politiques publiques. C’est le cas notamment du chantier de généralisation de la couverture sanitaire, de la protection sociale et de soutien aux catégories vulnérables, a ajouté le Souverain, affirmant que ce projet sociétal garantit l’accès effectif aux services sociaux et de santé et renforce les piliers du dispositif solidaire national.
SM Le Roi Mohammed VI a également cité la révision en cours du Code de la famille, deux décennies après son adoption, rappelant le lancement, dans ce cadre, de larges consultations auprès des différentes composantes de la société, « de manière à sauvegarder les droits de la femme et de l’enfant et à préserver l’intérêt de la famille, considérée comme le noyau de la société »
Le 75ème anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’Homme est célébré dans un contexte marqué par des tensions et des périls qui menacent la sécurité, la stabilité et la prospérité des peuples, a tenu à rappeler SM le Roi.
« L’importance de la conférence qui vous réunit aujourd’hui découle du besoin impérieux de rappeler, à nouveau, la nécessité de renouveler un engagement universel en faveur de la protection des droits des individus et des collectivités, plus particulièrement de ceux des catégories en situation de précarité », a relevé le Souverain.
Cette exigence, a ajouté le Roi, « s’impose d’autant plus que nous vivons dans un monde agité par des tensions et des violations récurrentes en contradiction avec les principes et les idéaux universels fondateurs de la Déclaration ».
Le Souverain a noté que cette célébration constitue également un moment opportun pour dresser le bilan des réalisations en la matière, identifier les défaillances et les anomalies ayant entaché le processus de sauvegarde des acquis ainsi que les défis qui, à ce jour, empêchent la communauté internationale de promouvoir, d’une manière globale, les questions relatives aux droits de l’Homme.
Face à ces enjeux, le Maroc a fait le choix de se frayer son propre chemin en matière des droits humains, a poursuivi le Roi, soulignant que par ce parcours spécifique et en perpétuelle évolution, le Royaume a marqué de son sceau les expériences internationales dans ce domaine.
Le Souverain a dans ce contexte fait observer que l’engagement du Royaume en faveur de la promotion des droits de l’Homme au niveau national ne se limite pas à leur simple consécration constitutionnelle, mais « devient également un pilier des politiques publiques et un paramètre essentiel à prendre en compte dans les choix stratégiques, aussi bien économiques, sociaux, culturels qu’environnementaux ».
« Notre attachement immuable à la défense et à la consécration de ces droits n’a d’égal que Notre détermination inébranlable à poursuivre l’œuvre de consolidation et de perfectionnement de l’Etat de droit et de celle du renforcement des institutions, en tant que choix volontaire et souverain », a indiqué le Roi, précisant que le Royaume veille « à conforter ces acquis, concomitamment à Notre interaction continue avec les nouveautés en matière des droits humains, aussi bien au plan national que dans le cadre du système des droits de l’Homme de l’ONU ».
Dans ce contexte, le Roi a fait remarquer qu’en dépit des réalisations accomplies en matière de droits humains, leur importance essentielle et le travail sérieux qu’ils requièrent « appellent de nous tous un engagement accru ».
« Cette action résolue permettra, dans le respect des spécificités et des constantes nationales, de réaliser ce qui est urgent au présent et d’anticiper ce qui est possible à l’avenir », a soutenu le Souverain, affirmant sous cet angle que les droits politiques et civils ne prendront pleinement leur sens que s’ils s’articulent avec la promotion des droits économiques, sociaux, culturels et environnementaux.
C’est dans cet esprit, a précisé le Roi, que le Maroc a inauguré une étape nouvelle marquée par des réformes structurelles, placées en tête des priorités des politiques publiques. C’est le cas notamment du chantier de généralisation de la couverture sanitaire, de la protection sociale et de soutien aux catégories vulnérables, a ajouté le Souverain, affirmant que ce projet sociétal garantit l’accès effectif aux services sociaux et de santé et renforce les piliers du dispositif solidaire national.
SM Le Roi Mohammed VI a également cité la révision en cours du Code de la famille, deux décennies après son adoption, rappelant le lancement, dans ce cadre, de larges consultations auprès des différentes composantes de la société, « de manière à sauvegarder les droits de la femme et de l’enfant et à préserver l’intérêt de la famille, considérée comme le noyau de la société »