Après plusieurs années loin des scènes marocaines, le crooner aux milliards de vues a choisi Kénitra pour signer son grand retour. Organisée par l’Association du Festival de Kénitra, la soirée avait tout d’un rendez-vous historique. Des dizaines de milliers de fans, toutes générations confondues, ont squatté l’esplanade de la gare LGV pour voir en chair et en voix l’interprète de "Lm3allem".
Et on peut dire que le "love" était réciproque. « Vous ne pouvez pas imaginer ma joie… », a confié Lamjarred, visiblement ému, à la presse. Pour lui, c’était plus qu’un concert : c’était des retrouvailles avec son pays, ses fans, et ses souvenirs.
Une soirée en apesanteur : hits, émotion et énergie communicative
Imagine un océan de smartphones qui filment, des chœurs spontanés qui reprennent chaque punchline de ses hits, et une scène transformée en véritable temple de la pop marocaine. C’est exactement ce qui s’est passé. Saad a balancé un set list blindé de classiques : Lm3allem, Enty, Ghaltana… Chaque morceau, une claque. Sa voix, toujours aussi puissante, alliée à ses pas de danse signature, a créé une connexion presque mystique avec le public.
Et parce que Lamjarred sait qu’un concert, ce n’est pas juste des chansons, il a ajouté une bonne dose de gratitude. Hommage à Lhor, son pote et compositeur présent dans le public, et un big up aux organisateurs pour « une qualité digne des meilleurs festivals internationaux ». Bref, une soirée où tout le monde a gagné : le public, l’artiste, et la ville.
Esthétique et aura internationale
Faut le dire, Saad reste une superstar MENA. Ses sons mélangent rythmes orientaux, pop, electro, et ses clips dépassent les frontières. Entre records YouTube et collaborations internationales, il continue de marquer l’histoire de la musique arabe. Et à Kénitra, il a prouvé qu’il n’a rien perdu de son aura : toujours innovant, toujours en avance, toujours Lm3allem.
Et on peut dire que le "love" était réciproque. « Vous ne pouvez pas imaginer ma joie… », a confié Lamjarred, visiblement ému, à la presse. Pour lui, c’était plus qu’un concert : c’était des retrouvailles avec son pays, ses fans, et ses souvenirs.
Une soirée en apesanteur : hits, émotion et énergie communicative
Imagine un océan de smartphones qui filment, des chœurs spontanés qui reprennent chaque punchline de ses hits, et une scène transformée en véritable temple de la pop marocaine. C’est exactement ce qui s’est passé. Saad a balancé un set list blindé de classiques : Lm3allem, Enty, Ghaltana… Chaque morceau, une claque. Sa voix, toujours aussi puissante, alliée à ses pas de danse signature, a créé une connexion presque mystique avec le public.
Et parce que Lamjarred sait qu’un concert, ce n’est pas juste des chansons, il a ajouté une bonne dose de gratitude. Hommage à Lhor, son pote et compositeur présent dans le public, et un big up aux organisateurs pour « une qualité digne des meilleurs festivals internationaux ». Bref, une soirée où tout le monde a gagné : le public, l’artiste, et la ville.
Esthétique et aura internationale
Faut le dire, Saad reste une superstar MENA. Ses sons mélangent rythmes orientaux, pop, electro, et ses clips dépassent les frontières. Entre records YouTube et collaborations internationales, il continue de marquer l’histoire de la musique arabe. Et à Kénitra, il a prouvé qu’il n’a rien perdu de son aura : toujours innovant, toujours en avance, toujours Lm3allem.












L'accueil




















