Organisée sous le slogan évocateur « Al-Taburida est un patrimoine marocain, le préserver est une responsabilité partagée », cette rencontre a rassemblé des acteurs majeurs du domaine, des représentants locaux et des passionnés. Parmi les figures de proue présentes figuraient Yassin Okasha, président de l’Association nationale pour Al-Taburida, Mohamed Mett, président du fédéralisme régional de cet art pour la région de Rabat-Salé-Kénitra, ainsi que d’autres personnalités influentes telles que Hassan Sisman et le lieutenant-colonel Abdullah Bin Bey, connu pour son engagement envers cet héritage.
Cette réunion a permis de mettre en lumière les défis et les enjeux auxquels fait face l’art de la Taburida. Les discussions se sont concentrées sur les nouvelles lois réglementaires encadrant cette pratique, notamment dans le cadre des compétitions. Les participants ont souligné l’importance de préserver l’authenticité des traditions propres à chaque région tout en s’adaptant aux évolutions nécessaires. Parmi les préoccupations soulevées figuraient la sécurité des cavaliers et des chevaux, ainsi que les coûts élevés de la poudre à canon, un élément indispensable à cet art équestre spectaculaire.
Un autre point fort de cette rencontre a été l’annonce d’un événement inédit pour la ville de Tiflet : les qualifications régionales pour le prestigieux concours Dar Al Salam, prévues en avril. Cet événement réunira des équipes (« serbat ») issues de trois régions : Sidi Kacem, Kénitra et Khémisset. Ce choix n’est pas anodin. Comme l’a souligné Yassin Okasha, il s’appuie sur le succès croissant du Festival annuel de Tiflet pour Taburida, qui s’est imposé comme un rendez-vous incontournable au Maroc et au-delà. Ce festival témoigne non seulement de l’expertise organisationnelle de la ville, mais aussi de son rôle central dans la valorisation et la transmission de cet art traditionnel.
Au-delà d’un simple rassemblement, cette réunion a renforcé l’idée que préserver la Taburida est une responsabilité collective. Tiflet s’affirme ainsi comme un pilier dans cette mission, en consolidant sa position en tant que destination privilégiée pour les grandes manifestations culturelles liées à ce patrimoine unique.
Cette réunion a permis de mettre en lumière les défis et les enjeux auxquels fait face l’art de la Taburida. Les discussions se sont concentrées sur les nouvelles lois réglementaires encadrant cette pratique, notamment dans le cadre des compétitions. Les participants ont souligné l’importance de préserver l’authenticité des traditions propres à chaque région tout en s’adaptant aux évolutions nécessaires. Parmi les préoccupations soulevées figuraient la sécurité des cavaliers et des chevaux, ainsi que les coûts élevés de la poudre à canon, un élément indispensable à cet art équestre spectaculaire.
Un autre point fort de cette rencontre a été l’annonce d’un événement inédit pour la ville de Tiflet : les qualifications régionales pour le prestigieux concours Dar Al Salam, prévues en avril. Cet événement réunira des équipes (« serbat ») issues de trois régions : Sidi Kacem, Kénitra et Khémisset. Ce choix n’est pas anodin. Comme l’a souligné Yassin Okasha, il s’appuie sur le succès croissant du Festival annuel de Tiflet pour Taburida, qui s’est imposé comme un rendez-vous incontournable au Maroc et au-delà. Ce festival témoigne non seulement de l’expertise organisationnelle de la ville, mais aussi de son rôle central dans la valorisation et la transmission de cet art traditionnel.
Au-delà d’un simple rassemblement, cette réunion a renforcé l’idée que préserver la Taburida est une responsabilité collective. Tiflet s’affirme ainsi comme un pilier dans cette mission, en consolidant sa position en tant que destination privilégiée pour les grandes manifestations culturelles liées à ce patrimoine unique.