Cette victoire, obtenue dans la douleur mais portée par l’espoir et l’unité, symbolise l’essor flamboyant du football marocain.
Face à une formation malienne expérimentée, double championne d’Afrique, les Lionceaux de l’Atlas ont prouvé que le courage, la discipline et la maîtrise collective peuvent renverser les plus redoutables des adversaires.
Dès les premiers instants, les jeunes Marocains ont montré qu’ils n’étaient pas là pour observer mais pour dominer. Un pressing constant, des combinaisons précises, une audace tactique à saluer : les protégés de Nabil Baha ont imposé leur tempo. Même l’annulation d’un but malien par la VAR n’a pas ébranlé leur concentration. Au contraire, elle a réveillé en eux un sursaut d’orgueil et un instinct de compétiteurs acharnés.
Dans un second acte haletant, Belmokhar et Ouazzane ont fait vibrer les filets… sans marquer, mais avec une intensité qui a mis la défense adverse au supplice. Et quand le Mali a tenté de contre-attaquer, un nom s’est dressé en héros national : Yassine Bellaarouch. Mural, prodige, capitaine de l’impossible, il a une fois de plus illuminé la rencontre de son talent.
Le suspense a culminé aux tirs au but. Sous une tension palpable, les Lionceaux ont tiré avec sang-froid. Puis, dans un ultime arrêt plein de panache, Bellaarouch a scellé le destin : le Maroc est champion d’Afrique U17 ! Un cri de fierté a jailli de tout le Royaume.
Ce triomphe est le fruit d’une stratégie royale audacieuse, portée par la vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Grâce à l’Académie Mohammed VI, à des infrastructures modernes et à une politique de formation exigeante, le Maroc récolte aujourd’hui les fruits d’une ambition bien semée.
Ce titre n’est pas seulement une coupe de plus dans une vitrine. C’est un symbole d’avenir, une promesse tenue, une jeunesse qui brille. Bravo à nos Lionceaux ! Vous incarnez la fierté d’un peuple, la force d’une nation, et l’espoir d’un football marocain conquérant.
Dès les premiers instants, les jeunes Marocains ont montré qu’ils n’étaient pas là pour observer mais pour dominer. Un pressing constant, des combinaisons précises, une audace tactique à saluer : les protégés de Nabil Baha ont imposé leur tempo. Même l’annulation d’un but malien par la VAR n’a pas ébranlé leur concentration. Au contraire, elle a réveillé en eux un sursaut d’orgueil et un instinct de compétiteurs acharnés.
Dans un second acte haletant, Belmokhar et Ouazzane ont fait vibrer les filets… sans marquer, mais avec une intensité qui a mis la défense adverse au supplice. Et quand le Mali a tenté de contre-attaquer, un nom s’est dressé en héros national : Yassine Bellaarouch. Mural, prodige, capitaine de l’impossible, il a une fois de plus illuminé la rencontre de son talent.
Le suspense a culminé aux tirs au but. Sous une tension palpable, les Lionceaux ont tiré avec sang-froid. Puis, dans un ultime arrêt plein de panache, Bellaarouch a scellé le destin : le Maroc est champion d’Afrique U17 ! Un cri de fierté a jailli de tout le Royaume.
Ce triomphe est le fruit d’une stratégie royale audacieuse, portée par la vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Grâce à l’Académie Mohammed VI, à des infrastructures modernes et à une politique de formation exigeante, le Maroc récolte aujourd’hui les fruits d’une ambition bien semée.
Ce titre n’est pas seulement une coupe de plus dans une vitrine. C’est un symbole d’avenir, une promesse tenue, une jeunesse qui brille. Bravo à nos Lionceaux ! Vous incarnez la fierté d’un peuple, la force d’une nation, et l’espoir d’un football marocain conquérant.