La compétition débutera ce samedi aux États-Unis, avec à la clé jusqu’à 125,8 millions de dollars pour le vainqueur. Toutefois, plusieurs clubs européens de renom comme Barcelone, Arsenal, Liverpool, Manchester United ou encore l’AC Milan ne participeront pas à cette édition, en raison du quota limité à 12 clubs européens. Pour garantir la présence de davantage de grands noms du football européen, la seule solution semble être l’élargissement du format.
Cette évolution serait en phase avec la nouvelle orientation prise par la FIFA, qui a déjà décidé d’inclure 48 équipes dans la Coupe du monde masculine de 2026 et dans la Coupe du monde féminine de 2031.
Dans un entretien accordé au média The Athletic la semaine dernière, Mattias Grafström, secrétaire général de la FIFA, a confirmé que toutes les options restaient sur la table pour 2029 :
« Nous sommes très ouverts à l’idée de revoir les formats et autres aspects de la compétition, en concertation avec les clubs et les confédérations », a-t-il déclaré.
Une éventuelle expansion serait particulièrement bien accueillie par les clubs européens, dont la puissance économique et l’aura mondiale ne se reflètent pas dans la liste actuelle des participants. Pour la FIFA, un tournoi plus étendu, incluant davantage de têtes d’affiche, pourrait également renforcer l’attrait commercial d’un événement qui peine encore à séduire certains sponsors.












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