Une édition placée sous le signe du souffle poétique
Fès n’est pas seulement une médina classée. C’est aussi un état d’âme, un espace-temps où la beauté se murmure.
Du 18 au 25 octobre, la ville vibrera au rythme du Festival de la Culture et des Sagesses du Monde, qui fête sa 17e édition autour d’un thème aussi intrigant qu’essentiel : « Vivre poétiquement, art et spiritualité ».
Un mot d’ordre ? Prendre le temps de penser, d’écouter, de sentir. Dans un monde qui zappe plus qu’il ne médite, ce festival, lui, ralentit la cadence.
Du 18 au 25 octobre, la ville vibrera au rythme du Festival de la Culture et des Sagesses du Monde, qui fête sa 17e édition autour d’un thème aussi intrigant qu’essentiel : « Vivre poétiquement, art et spiritualité ».
Un mot d’ordre ? Prendre le temps de penser, d’écouter, de sentir. Dans un monde qui zappe plus qu’il ne médite, ce festival, lui, ralentit la cadence.
Concerts, conférences et lieux magiques : la ville se transforme
Dès l’ouverture, un hommage sera rendu à Ahmed Taoufiq, écrivain et ministre, artisan discret de cette passerelle entre tradition et modernité spirituelle.
Puis la musique prendra le relais, avec Senny Camara, voix envoûtante venue du Sénégal, et Enris Qinami, virtuose albanais.
Le cadre ? Rien de moins que Bab El Makina, le Jardin Jnan Sbil ou encore la salle de la préfecture Fès-Médina : des lieux chargés d’histoire où chaque note ou vers résonnera comme un appel au voyage intérieur.
Côté conférences, des thèmes costauds mais captivants : de la beauté soufie à la cosmologie écologique, de la mémoire collective à l’art sacré. Loin d’être perchés, ces échanges touchent à des questions très concrètes : comment rester humain dans un monde hyperconnecté ? Où trouver du sens ?
Puis la musique prendra le relais, avec Senny Camara, voix envoûtante venue du Sénégal, et Enris Qinami, virtuose albanais.
Le cadre ? Rien de moins que Bab El Makina, le Jardin Jnan Sbil ou encore la salle de la préfecture Fès-Médina : des lieux chargés d’histoire où chaque note ou vers résonnera comme un appel au voyage intérieur.
Côté conférences, des thèmes costauds mais captivants : de la beauté soufie à la cosmologie écologique, de la mémoire collective à l’art sacré. Loin d’être perchés, ces échanges touchent à des questions très concrètes : comment rester humain dans un monde hyperconnecté ? Où trouver du sens ?
Entre réflexion et contemplation : un programme engagé
Les têtes d’affiche artistiques ne manquent pas : Noureddine Tahiri, figure marocaine aux mélodies profondes, partagera la scène avec Curro Piñana, héritier du flamenco spirituel.
Et pour la touche arts visuels, des expositions avec Mourabiti ou Manoël Pénicaud, entre regards soufis et explorations esthétiques.
Mention spéciale pour la création de clôture "La passion d’El Haraq", une fresque musicale aux accents mystiques, qui promet un final vibrant.
Et pour la touche arts visuels, des expositions avec Mourabiti ou Manoël Pénicaud, entre regards soufis et explorations esthétiques.
Mention spéciale pour la création de clôture "La passion d’El Haraq", une fresque musicale aux accents mystiques, qui promet un final vibrant.
Une invitation à vivre autrement
Alors, ce festival, on y va ou pas ?
Si tu veux fuir les algorithmes, respirer hors du feed, écouter des voix qui élèvent au lieu de buzzer, Fès t’attend. Pas besoin de tapis volant pour t’y rendre, juste un cœur ouvert.
Et un carnet pour noter les punchlines spirituelles. Parce que parfois, la sagesse, c’est aussi du flow.
Si tu veux fuir les algorithmes, respirer hors du feed, écouter des voix qui élèvent au lieu de buzzer, Fès t’attend. Pas besoin de tapis volant pour t’y rendre, juste un cœur ouvert.
Et un carnet pour noter les punchlines spirituelles. Parce que parfois, la sagesse, c’est aussi du flow.












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