La ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali, a admis que ce phénomène détériore gravement la qualité de l’air dans la ville et a promis la fermeture prochaine de la station thermique locale qui en est à l’origine.
Kénitra sera aussi dotée d’une deuxième station de surveillance de la qualité de l’air (1,5 MDH), a rajouté la ministre.