Airbus renforce sa présence au Maroc, confirmant une tendance devenue évidente : le Royaume n’est plus un simple relais de production, mais un maillon stratégique de la chaîne aéronautique mondiale. Entre Tanger, Casablanca et Nouaceur, les sous-traitants locaux montent en capacité, grimpent en complexité technique et s’alignent sur des standards internationaux réputés exigeants.
L’intérêt croissant d’Airbus s’explique par un environnement compétitif — qualité, coûts maîtrisés, stabilité politique — mais aussi par la montée en compétence des ingénieurs et techniciens marocains. Le défi, à ce stade, consiste à consolider l’écosystème en attirant davantage de fournisseurs de rang 1 et 2, et à éviter de rester cantonné aux segments intermédiaires. L’aéronautique marocaine a quitté la piste : elle est clairement en phase d’accélération.
L’intérêt croissant d’Airbus s’explique par un environnement compétitif — qualité, coûts maîtrisés, stabilité politique — mais aussi par la montée en compétence des ingénieurs et techniciens marocains. Le défi, à ce stade, consiste à consolider l’écosystème en attirant davantage de fournisseurs de rang 1 et 2, et à éviter de rester cantonné aux segments intermédiaires. L’aéronautique marocaine a quitté la piste : elle est clairement en phase d’accélération.












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