Derrière ses hauts fourneaux, ses bobines d’acier et ses bilans chiffrés, Sonasid est aussi une présence humaine. Une entreprise qui, dans chacun de ses territoires d’implantation, ne se contente pas de produire du métal mais entend également contribuer à une société plus juste, plus équitable, plus solidaire. La RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises), pour Sonasid, n’est pas un supplément d’âme : c’est une stratégie d’impact local, qui s’exprime dans des domaines aussi concrets que l’accès à l’eau, l’autonomisation des femmes ou le soutien à la culture.
À Nador, Jorf Lasfar ou Berrechid, les sites industriels de Sonasid ne sont pas des enclaves fermées. Ils dialoguent avec leur environnement, écoutent les besoins des habitants, et co-construisent des réponses. L’eau, ressource devenue précieuse dans de nombreuses régions du Maroc, est au cœur de cette action. En partenariat avec l’association Dar Si Hmad, Sonasid a permis l’installation de systèmes de récupération d’eau de brouillard dans des zones reculées. Résultat : des villages entiers bénéficient aujourd’hui d’un accès à l’eau potable grâce à une technologie low-tech mais à fort impact.
L’autre priorité assumée du groupe concerne les droits des femmes. Dans plusieurs régions d’implantation, Sonasid soutient des coopératives féminines, propose des formations professionnelles, et accompagne des initiatives entrepreneuriales locales. À travers le programme « Women for Steel », l’entreprise cherche aussi à féminiser des métiers historiquement masculins, que ce soit dans les bureaux d’études, la maintenance industrielle ou la logistique. Une démarche qui va bien au-delà de la parité : il s’agit d’ouvrir des perspectives de vie là où elles étaient longtemps verrouillées.
Enfin, la culture n’est pas oubliée. Sonasid participe au financement d’événements culturels dans des villes parfois délaissées par les circuits institutionnels. Concerts, ateliers artistiques, partenariats avec des écoles de musique ou des bibliothèques rurales sont autant de manières de tisser du lien, de redonner une âme à des territoires industriels. Car une usine peut faire plus que produire : elle peut aussi transmettre, nourrir l’esprit, renforcer le tissu social.
Cette action territoriale de Sonasid prend encore plus de relief dans un contexte où les entreprises sont souvent accusées de se désengager, de se retrancher derrière leur mission économique. Ici, c’est l’inverse : l’industriel se fait acteur de proximité, partenaire de développement, et levier d’émancipation. Il s’inscrit dans une logique de création de valeur élargie, qui ne se mesure pas uniquement en dirhams, mais en qualité de vie, en confiance sociale, en avenir partagé.
Ce choix n’est pas naïf. Il est stratégique. Car une entreprise bien intégrée localement, respectée, ancrée dans la société, est aussi plus résiliente, plus crédible, plus durable. Dans le grand chantier qu’est le Maroc d’aujourd’hui, la RSE de Sonasid rappelle une vérité essentielle : bâtir un pays, c’est aussi construire des relations humaines solides.
À Nador, Jorf Lasfar ou Berrechid, les sites industriels de Sonasid ne sont pas des enclaves fermées. Ils dialoguent avec leur environnement, écoutent les besoins des habitants, et co-construisent des réponses. L’eau, ressource devenue précieuse dans de nombreuses régions du Maroc, est au cœur de cette action. En partenariat avec l’association Dar Si Hmad, Sonasid a permis l’installation de systèmes de récupération d’eau de brouillard dans des zones reculées. Résultat : des villages entiers bénéficient aujourd’hui d’un accès à l’eau potable grâce à une technologie low-tech mais à fort impact.
L’autre priorité assumée du groupe concerne les droits des femmes. Dans plusieurs régions d’implantation, Sonasid soutient des coopératives féminines, propose des formations professionnelles, et accompagne des initiatives entrepreneuriales locales. À travers le programme « Women for Steel », l’entreprise cherche aussi à féminiser des métiers historiquement masculins, que ce soit dans les bureaux d’études, la maintenance industrielle ou la logistique. Une démarche qui va bien au-delà de la parité : il s’agit d’ouvrir des perspectives de vie là où elles étaient longtemps verrouillées.
Enfin, la culture n’est pas oubliée. Sonasid participe au financement d’événements culturels dans des villes parfois délaissées par les circuits institutionnels. Concerts, ateliers artistiques, partenariats avec des écoles de musique ou des bibliothèques rurales sont autant de manières de tisser du lien, de redonner une âme à des territoires industriels. Car une usine peut faire plus que produire : elle peut aussi transmettre, nourrir l’esprit, renforcer le tissu social.
Cette action territoriale de Sonasid prend encore plus de relief dans un contexte où les entreprises sont souvent accusées de se désengager, de se retrancher derrière leur mission économique. Ici, c’est l’inverse : l’industriel se fait acteur de proximité, partenaire de développement, et levier d’émancipation. Il s’inscrit dans une logique de création de valeur élargie, qui ne se mesure pas uniquement en dirhams, mais en qualité de vie, en confiance sociale, en avenir partagé.
Ce choix n’est pas naïf. Il est stratégique. Car une entreprise bien intégrée localement, respectée, ancrée dans la société, est aussi plus résiliente, plus crédible, plus durable. Dans le grand chantier qu’est le Maroc d’aujourd’hui, la RSE de Sonasid rappelle une vérité essentielle : bâtir un pays, c’est aussi construire des relations humaines solides.












L'accueil





















