Pourquoi les jeunes doivent troquer Instagram contre l’IA – et vite
C’est ce que rappelle avec justesse Aravind Srinivas, PDG de Perplexity AI, l’un des moteurs de recherche intelligents les plus prometteurs de la décennie. Son message ? Clair, sans filtre, presque brutal : « Les jeunes devraient passer moins de temps sur Instagram, et plus de temps sur l’IA. »
Ne nous mentons pas. Instagram est devenu le miroir sans tain de notre génération. On y expose nos brunchs, nos corps, nos ambitions empaquetées dans des stories de 15 secondes. On y vit la vie des autres par procuration, on y cultive l’image plutôt que la pensée.
Mais le pire, ce n’est pas ce qu’on y voit. C’est ce qu’on y perd. Chaque heure passée à scroller est une heure volée à notre curiosité, à notre capacité d’apprendre, à notre pouvoir d’imaginer autre chose. On y consomme, on ne crée plus. On réagit, on ne réfléchit plus. On s’oublie, on ne s’élève plus.
Et pendant ce temps, des outils comme ChatGPT, Claude, Gemini ou Perplexity transforment en profondeur la manière dont on travaille, on écrit, on cherche, on invente. Mais où sont les jeunes ? Majoritairement ailleurs.
Beaucoup pensent encore que l’intelligence artificielle est un sujet d’ingénieurs, de laboratoires, de nerds enfermés dans des data centers. Erreur. L’IA est déjà là, partout. Elle rédige des articles, génère des images, corrige nos fautes, nous aide à réfléchir, à apprendre, à coder, à chanter, à entreprendre.
Elle n’attend pas qu’on soit diplômé du MIT. Elle attend qu’on l’explore. Et plus les jeunes s’en détournent, plus ils laissent les autres décider de leur futur.
Car ce que dit Aravind Srinivas est fondamental : « Ceux qui maîtrisent l’IA aujourd’hui seront ceux qui auront une place demain. »
Et à ce rythme, ce ne seront pas les jeunes d’Instagram.
Aravind Srinivas n’est pas un influenceur. Il n’a pas un compte certifié avec 5 millions d’abonnés. Il ne vend pas de masterclass à 200 euros. Il est ingénieur, chercheur, entrepreneur, mais surtout il est PDG d’un outil d’IA qui veut réinventer le moteur de recherche.
Perplexity AI, c’est une alternative à Google. Pas juste pour chercher, mais pour comprendre. L’outil te répond comme un humain, avec des sources, des idées, des reformulations. Et dans une société noyée sous l’info, comprendre vaut plus qu’informer.
Quand un homme comme lui parle de la jeunesse, ce n’est pas pour flatter. C’est pour alerter.
Malgré l’explosion de l’IA générative depuis fin 2022, le Top 10 des sites les plus consultés dans le monde reste dominé par Google, YouTube, Facebook, Instagram. Seul ChatGPT a réussi à se hisser dans le classement.
Mais l’écart est gigantesque. Instagram attire chaque mois plus de 2 milliards d’utilisateurs actifs. Perplexity ? Quelques millions.
Ce n’est pas une question de puissance technologique. C’est une question de culture d’usage. Et c’est là que le bât blesse : les jeunes n’ont pas encore pris le virage de l’IA.
Pas parce qu’ils ne peuvent pas, mais parce qu’ils ne voient pas encore ce qu’ils y gagneraient.
Aravind l’a compris : pour parler aux jeunes, il faut passer par leur meilleur ami. Le smartphone.
C’est pourquoi Perplexity lance Comet, un navigateur mobile boosté à l’intelligence artificielle. Objectif : rendre l’IA aussi intuitive, aussi quotidienne, que n’importe quelle appli de réseaux sociaux.
Parce qu’au fond, ce n’est pas un problème de capacité. C’est un problème de priorité.
Et tant que notre première appli ouverte chaque matin s’appellera Instagram, on perdra du terrain.
La question n’est pas de savoir si l’IA va transformer le monde. C’est déjà fait.
La vraie question, c’est : qui va participer à cette transformation ?
👉 Ceux qui scrollent ?
👉 Ou ceux qui construisent ?
Il est temps de former des jeunes qui savent dialoguer avec une IA, qui comprennent ses limites, qui l’exploitent dans leurs métiers, leurs idées, leurs projets.
Il est temps de créer une génération qui utilise l’IA comme une prothèse d’intelligence, pas comme un jouet passif.
Changer d’appli, ce n’est rien.
Changer d’intention, c’est tout.
Tu peux avoir un smartphone dernière génération. Mais si tu t’en sers juste pour liker des vidéos ou retoucher ton visage, tu restes enfermé dans l’image que les autres attendent de toi.
Utiliser l’IA, ce n’est pas devenir un geek. C’est juste reprendre la main sur son attention, son apprentissage, sa productivité.
C’est choisir de produire plutôt que consommer.
Mais peut-être que sur 2 heures de scroll par jour, tu peux en donner 30 minutes à Perplexity, ChatGPT ou Claude.
Peut-être que tu peux demander à une IA de t’aider à :
trouver des idées de projet,
t’entraîner à un entretien,
comprendre un sujet complexe,
apprendre à coder, écrire, argumenter.
L’IA est gratuite, disponible 24h/24, ne juge pas, ne t’interrompt pas, et évolue avec toi.
Quel professeur, quel ami, quel mentor peut t’offrir ça ?
Il ne s’agit pas d’un appel technophile, ni d’un rejet des réseaux sociaux. Il s’agit d’un rappel de lucidité.
👉 Le futur est déjà là.
👉 L’IA n’est pas un gadget. C’est une nouvelle langue, un nouveau pouvoir, une nouvelle logique du monde.
👉 Et ceux qui apprennent à l’utiliser maintenant seront les architectes de demain.
Moi, comme Aravind Srinivas, je ne veux pas que les jeunes soient les spectateurs du progrès.
Je veux qu’ils en soient les auteurs.
Et moi, franchement, je suis d’accord.
Ne nous mentons pas. Instagram est devenu le miroir sans tain de notre génération. On y expose nos brunchs, nos corps, nos ambitions empaquetées dans des stories de 15 secondes. On y vit la vie des autres par procuration, on y cultive l’image plutôt que la pensée.
Mais le pire, ce n’est pas ce qu’on y voit. C’est ce qu’on y perd. Chaque heure passée à scroller est une heure volée à notre curiosité, à notre capacité d’apprendre, à notre pouvoir d’imaginer autre chose. On y consomme, on ne crée plus. On réagit, on ne réfléchit plus. On s’oublie, on ne s’élève plus.
Et pendant ce temps, des outils comme ChatGPT, Claude, Gemini ou Perplexity transforment en profondeur la manière dont on travaille, on écrit, on cherche, on invente. Mais où sont les jeunes ? Majoritairement ailleurs.
Beaucoup pensent encore que l’intelligence artificielle est un sujet d’ingénieurs, de laboratoires, de nerds enfermés dans des data centers. Erreur. L’IA est déjà là, partout. Elle rédige des articles, génère des images, corrige nos fautes, nous aide à réfléchir, à apprendre, à coder, à chanter, à entreprendre.
Elle n’attend pas qu’on soit diplômé du MIT. Elle attend qu’on l’explore. Et plus les jeunes s’en détournent, plus ils laissent les autres décider de leur futur.
Car ce que dit Aravind Srinivas est fondamental : « Ceux qui maîtrisent l’IA aujourd’hui seront ceux qui auront une place demain. »
Et à ce rythme, ce ne seront pas les jeunes d’Instagram.
Aravind Srinivas n’est pas un influenceur. Il n’a pas un compte certifié avec 5 millions d’abonnés. Il ne vend pas de masterclass à 200 euros. Il est ingénieur, chercheur, entrepreneur, mais surtout il est PDG d’un outil d’IA qui veut réinventer le moteur de recherche.
Perplexity AI, c’est une alternative à Google. Pas juste pour chercher, mais pour comprendre. L’outil te répond comme un humain, avec des sources, des idées, des reformulations. Et dans une société noyée sous l’info, comprendre vaut plus qu’informer.
Quand un homme comme lui parle de la jeunesse, ce n’est pas pour flatter. C’est pour alerter.
Malgré l’explosion de l’IA générative depuis fin 2022, le Top 10 des sites les plus consultés dans le monde reste dominé par Google, YouTube, Facebook, Instagram. Seul ChatGPT a réussi à se hisser dans le classement.
Mais l’écart est gigantesque. Instagram attire chaque mois plus de 2 milliards d’utilisateurs actifs. Perplexity ? Quelques millions.
Ce n’est pas une question de puissance technologique. C’est une question de culture d’usage. Et c’est là que le bât blesse : les jeunes n’ont pas encore pris le virage de l’IA.
Pas parce qu’ils ne peuvent pas, mais parce qu’ils ne voient pas encore ce qu’ils y gagneraient.
Aravind l’a compris : pour parler aux jeunes, il faut passer par leur meilleur ami. Le smartphone.
C’est pourquoi Perplexity lance Comet, un navigateur mobile boosté à l’intelligence artificielle. Objectif : rendre l’IA aussi intuitive, aussi quotidienne, que n’importe quelle appli de réseaux sociaux.
Parce qu’au fond, ce n’est pas un problème de capacité. C’est un problème de priorité.
Et tant que notre première appli ouverte chaque matin s’appellera Instagram, on perdra du terrain.
La question n’est pas de savoir si l’IA va transformer le monde. C’est déjà fait.
La vraie question, c’est : qui va participer à cette transformation ?
👉 Ceux qui scrollent ?
👉 Ou ceux qui construisent ?
Il est temps de former des jeunes qui savent dialoguer avec une IA, qui comprennent ses limites, qui l’exploitent dans leurs métiers, leurs idées, leurs projets.
Il est temps de créer une génération qui utilise l’IA comme une prothèse d’intelligence, pas comme un jouet passif.
Changer d’appli, ce n’est rien.
Changer d’intention, c’est tout.
Tu peux avoir un smartphone dernière génération. Mais si tu t’en sers juste pour liker des vidéos ou retoucher ton visage, tu restes enfermé dans l’image que les autres attendent de toi.
Utiliser l’IA, ce n’est pas devenir un geek. C’est juste reprendre la main sur son attention, son apprentissage, sa productivité.
C’est choisir de produire plutôt que consommer.
Mais peut-être que sur 2 heures de scroll par jour, tu peux en donner 30 minutes à Perplexity, ChatGPT ou Claude.
Peut-être que tu peux demander à une IA de t’aider à :
trouver des idées de projet,
t’entraîner à un entretien,
comprendre un sujet complexe,
apprendre à coder, écrire, argumenter.
L’IA est gratuite, disponible 24h/24, ne juge pas, ne t’interrompt pas, et évolue avec toi.
Quel professeur, quel ami, quel mentor peut t’offrir ça ?
Il ne s’agit pas d’un appel technophile, ni d’un rejet des réseaux sociaux. Il s’agit d’un rappel de lucidité.
👉 Le futur est déjà là.
👉 L’IA n’est pas un gadget. C’est une nouvelle langue, un nouveau pouvoir, une nouvelle logique du monde.
👉 Et ceux qui apprennent à l’utiliser maintenant seront les architectes de demain.
Moi, comme Aravind Srinivas, je ne veux pas que les jeunes soient les spectateurs du progrès.
Je veux qu’ils en soient les auteurs.












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