Il y a les annonces. Il y a les discours. Et puis, il y a les preuves concrètes. Celles que l’on peut lire dans un bilan, observer dans une usine, mesurer en tonnes d’acier livrées. Dans un pays où les mégaprojets se succèdent – barrages, stades, CHU, gares, ports, stations de dessalement – la vraie question que posent les citoyens comme les investisseurs est simple : tout cela avance-t-il vraiment ? Pour répondre, un indicateur vaut mille discours : les résultats de Sonasid.
En 2024, la société a vu son chiffre d’affaires croître de dix pour cent, ses ventes augmenter de quinze pour cent, et son résultat net doubler. Ce n’est pas un hasard. Ce n’est pas qu’un effet de marché. C’est le reflet direct de l’accélération des grands chantiers marocains, de leur concrétisation matérielle sur le terrain.
Car dans l’économie du béton, l’acier est toujours le premier à arriver. Il précède le ciment, les grues, les ouvriers. Quand les commandes affluent chez Sonasid, cela signifie que les fondations sont prêtes à être posées, que les appels d’offres ont été attribués, que les entreprises du BTP sont sur le pied de guerre. L’acier, en somme, est le témoin silencieux du démarrage effectif d’un projet.
Ce rôle de baromètre, Sonasid l’assume pleinement. Depuis ses usines de Jorf Lasfar ou de Nador, le groupe suit à la trace les besoins des donneurs d’ordre publics et privés. Il adapte ses capacités, accélère ses cadences, livre les sites. Que ce soit pour la construction des stades du Mondial 2030, les axes ferroviaires à grande vitesse, ou les infrastructures hospitalières, l’entreprise est dans le vif du chantier, là où les promesses deviennent réalité.
Cette dynamique s’inscrit dans une trajectoire plus large : celle d’un Maroc qui mise sur l’investissement public massif pour consolider sa croissance, créer de l’emploi, préparer l’avenir. Les lois de finances successives ont multiplié les crédits d’équipement. Mais ces chiffres, pour exister, doivent se traduire en commandes, en livraisons, en construction réelle. C’est ce que prouve Sonasid, trimestre après trimestre.
En se basant sur les résultats de cette entreprise cotée, soumise aux obligations de transparence, on peut affirmer sans forcer le trait : oui, les chantiers avancent. Oui, l’économie tourne. Oui, la machine est en marche.
Dans un monde saturé de déclarations d’intention, la sidérurgie reste un domaine où les faits précèdent les discours. L’acier ne ment pas. Il se vend ou non. Il est demandé ou non. Et cette année, plus que jamais, Sonasid est la preuve matérielle, économique et industrielle que le Maroc ne rêve pas seulement ses infrastructures : il les construit, à grande échelle, et à un rythme soutenu.
En 2024, la société a vu son chiffre d’affaires croître de dix pour cent, ses ventes augmenter de quinze pour cent, et son résultat net doubler. Ce n’est pas un hasard. Ce n’est pas qu’un effet de marché. C’est le reflet direct de l’accélération des grands chantiers marocains, de leur concrétisation matérielle sur le terrain.
Car dans l’économie du béton, l’acier est toujours le premier à arriver. Il précède le ciment, les grues, les ouvriers. Quand les commandes affluent chez Sonasid, cela signifie que les fondations sont prêtes à être posées, que les appels d’offres ont été attribués, que les entreprises du BTP sont sur le pied de guerre. L’acier, en somme, est le témoin silencieux du démarrage effectif d’un projet.
Ce rôle de baromètre, Sonasid l’assume pleinement. Depuis ses usines de Jorf Lasfar ou de Nador, le groupe suit à la trace les besoins des donneurs d’ordre publics et privés. Il adapte ses capacités, accélère ses cadences, livre les sites. Que ce soit pour la construction des stades du Mondial 2030, les axes ferroviaires à grande vitesse, ou les infrastructures hospitalières, l’entreprise est dans le vif du chantier, là où les promesses deviennent réalité.
Cette dynamique s’inscrit dans une trajectoire plus large : celle d’un Maroc qui mise sur l’investissement public massif pour consolider sa croissance, créer de l’emploi, préparer l’avenir. Les lois de finances successives ont multiplié les crédits d’équipement. Mais ces chiffres, pour exister, doivent se traduire en commandes, en livraisons, en construction réelle. C’est ce que prouve Sonasid, trimestre après trimestre.
En se basant sur les résultats de cette entreprise cotée, soumise aux obligations de transparence, on peut affirmer sans forcer le trait : oui, les chantiers avancent. Oui, l’économie tourne. Oui, la machine est en marche.
Dans un monde saturé de déclarations d’intention, la sidérurgie reste un domaine où les faits précèdent les discours. L’acier ne ment pas. Il se vend ou non. Il est demandé ou non. Et cette année, plus que jamais, Sonasid est la preuve matérielle, économique et industrielle que le Maroc ne rêve pas seulement ses infrastructures : il les construit, à grande échelle, et à un rythme soutenu.












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