Dans un univers financier souvent dominé par les banques et les télécoms, rares sont les entreprises industrielles qui captent durablement l’attention des analystes. Sonasid fait figure d’exception. Cotée à la Bourse de Casablanca depuis 1996, l’entreprise sidérurgique continue d’occuper une place stratégique dans l’indice MASI, non seulement par son activité, mais surtout par ce qu’elle révèle de la santé réelle de l’économie marocaine.
Pourquoi ? Parce que Sonasid est au cœur de l’économie physique, celle du chantier, du béton armé, du port qui se construit, de la route qui s’allonge, de l’hôpital qui sort de terre. Ses carnets de commande ne dépendent pas d’effets de mode, mais du rythme des grands travaux. Et c’est justement ce lien étroit entre infrastructure réelle et performance boursière qui donne à Sonasid une valeur indicatrice unique.
En 2024, l’action Sonasid a évolué dans un climat plutôt positif, porté par une hausse du chiffre d’affaires, une progression significative du résultat net, et une confiance renouvelée des investisseurs institutionnels. Plus encore que les dividendes ou les perspectives sectorielles, c’est la capacité de l’entreprise à capter la relance des investissements publics qui rassure les marchés.
À travers Sonasid, la Bourse de Casablanca mesure le pouls des politiques d’infrastructure du Royaume. Quand les budgets d’équipement explosent dans les lois de finances, quand les appels d’offres publics s’accélèrent, quand les premiers coups de pioche sont donnés sur les stades, les stations de dessalement ou les gares du futur, cela finit par se refléter dans les volumes, puis dans les cours.
Mais la performance boursière de Sonasid va au-delà du miroir macroéconomique. Elle incarne aussi un modèle d’entreprise industrielle bien gouvernée, transparente, respectueuse des standards ESG (environnement, social, gouvernance) et capable de produire de la valeur sans spéculation excessive. Dans un marché souvent dominé par la finance, Sonasid rappelle qu’on peut investir dans la matière, la machine, l’usine… et y trouver du rendement durable.
Son statut de valeur industrielle cotée donne par ailleurs au groupe une visibilité stratégique. Il lui permet de mobiliser du capital pour ses projets, d’attirer des talents, de publier ses comptes avec rigueur, et d’être jugée sur la base de ses résultats concrets. Une forme de discipline qui conforte la confiance, mais aussi une vitrine nationale et internationale.
En somme, regarder la courbe de l’action Sonasid, c’est souvent prendre le pouls de l’économie réelle marocaine. Une manière de voir si les chantiers promis se concrétisent, si l’État paie à temps, si l’industrie tourne à plein régime. Dans le brouhaha spéculatif des places financières, l’acier de Sonasid sonne comme une note de vérité : celle d’une entreprise solide, enracinée, qui transforme l’argent en routes, en logements, en croissance visible.
Pourquoi ? Parce que Sonasid est au cœur de l’économie physique, celle du chantier, du béton armé, du port qui se construit, de la route qui s’allonge, de l’hôpital qui sort de terre. Ses carnets de commande ne dépendent pas d’effets de mode, mais du rythme des grands travaux. Et c’est justement ce lien étroit entre infrastructure réelle et performance boursière qui donne à Sonasid une valeur indicatrice unique.
En 2024, l’action Sonasid a évolué dans un climat plutôt positif, porté par une hausse du chiffre d’affaires, une progression significative du résultat net, et une confiance renouvelée des investisseurs institutionnels. Plus encore que les dividendes ou les perspectives sectorielles, c’est la capacité de l’entreprise à capter la relance des investissements publics qui rassure les marchés.
À travers Sonasid, la Bourse de Casablanca mesure le pouls des politiques d’infrastructure du Royaume. Quand les budgets d’équipement explosent dans les lois de finances, quand les appels d’offres publics s’accélèrent, quand les premiers coups de pioche sont donnés sur les stades, les stations de dessalement ou les gares du futur, cela finit par se refléter dans les volumes, puis dans les cours.
Mais la performance boursière de Sonasid va au-delà du miroir macroéconomique. Elle incarne aussi un modèle d’entreprise industrielle bien gouvernée, transparente, respectueuse des standards ESG (environnement, social, gouvernance) et capable de produire de la valeur sans spéculation excessive. Dans un marché souvent dominé par la finance, Sonasid rappelle qu’on peut investir dans la matière, la machine, l’usine… et y trouver du rendement durable.
Son statut de valeur industrielle cotée donne par ailleurs au groupe une visibilité stratégique. Il lui permet de mobiliser du capital pour ses projets, d’attirer des talents, de publier ses comptes avec rigueur, et d’être jugée sur la base de ses résultats concrets. Une forme de discipline qui conforte la confiance, mais aussi une vitrine nationale et internationale.
En somme, regarder la courbe de l’action Sonasid, c’est souvent prendre le pouls de l’économie réelle marocaine. Une manière de voir si les chantiers promis se concrétisent, si l’État paie à temps, si l’industrie tourne à plein régime. Dans le brouhaha spéculatif des places financières, l’acier de Sonasid sonne comme une note de vérité : celle d’une entreprise solide, enracinée, qui transforme l’argent en routes, en logements, en croissance visible.












L'accueil





















