Pour Nizar Baraka, la politique que nous appelons de nos vœux aujourd’hui ne peut plus se contenter des modèles du passé. Il est temps, selon lui, d’entrer pleinement dans ce qu’il appelle la « politique 4.0 », c’est-à-dire une nouvelle manière de concevoir l’engagement politique à l’ère du numérique, des défis climatiques, de la mondialisation économique, mais aussi des attentes croissantes d’une jeunesse marocaine instruite, connectée et impatiente de changement.
Cette nouvelle politique, explique-t-il, doit permettre l’émergence d’une nouvelle génération de responsables : des femmes et des hommes dotés de capacités intellectuelles, d’une rigueur morale, et d’un sens aigu de la responsabilité. Ce n’est plus une affaire de slogans ou de figures imposées : ce sont les idées, la capacité d’écoute, la sincérité dans les engagements et la cohérence des actes qui doivent guider le politique. Il s’agit de retrouver la crédibilité perdue, de donner de la substance à la parole politique, et surtout de la traduire en actes concrets.
Mais la crédibilité seule ne suffit pas. Pour Baraka, un responsable politique moderne doit être au contact permanent des citoyens, en particulier de la jeunesse. Il doit savoir dialoguer, comprendre les aspirations nouvelles, intégrer les suggestions venues de la société civile, des mouvements associatifs, des experts comme des citoyens ordinaires. Ce lien humain, direct et constant, est selon lui la clé de toute transformation durable.
Il insiste aussi sur la capacité d’initiative, la créativité politique, l’ouverture au débat et au travail collectif. Un engagement politique utile ne se mesure pas seulement par la loyauté à un programme, mais par la contribution active à un projet de société commun, inclusif, équitable et porteur d’avenir. Dans ce cadre, la jeunesse ne doit plus être vue comme un problème à encadrer mais comme un acteur central, porteur d’énergie, d’idées neuves, et capable d’innover dans tous les domaines.
Enfin, Baraka replace cette vision dans une ambition plus large : faire du Maroc une nation exemplaire sur le plan international, un pays leader dans la mise en œuvre de politiques sociales justes, de réformes économiques efficaces, et d’une gouvernance responsable. Pour lui, l’objectif final de la politique n’est autre que celui-ci : améliorer la vie de tous les Marocains, sans exclusion, en garantissant que les fruits du développement bénéficient à toutes les couches de la population, des jeunes aux aînés, des zones urbaines aux territoires marginalisés.
Cette nouvelle politique, explique-t-il, doit permettre l’émergence d’une nouvelle génération de responsables : des femmes et des hommes dotés de capacités intellectuelles, d’une rigueur morale, et d’un sens aigu de la responsabilité. Ce n’est plus une affaire de slogans ou de figures imposées : ce sont les idées, la capacité d’écoute, la sincérité dans les engagements et la cohérence des actes qui doivent guider le politique. Il s’agit de retrouver la crédibilité perdue, de donner de la substance à la parole politique, et surtout de la traduire en actes concrets.
Mais la crédibilité seule ne suffit pas. Pour Baraka, un responsable politique moderne doit être au contact permanent des citoyens, en particulier de la jeunesse. Il doit savoir dialoguer, comprendre les aspirations nouvelles, intégrer les suggestions venues de la société civile, des mouvements associatifs, des experts comme des citoyens ordinaires. Ce lien humain, direct et constant, est selon lui la clé de toute transformation durable.
Il insiste aussi sur la capacité d’initiative, la créativité politique, l’ouverture au débat et au travail collectif. Un engagement politique utile ne se mesure pas seulement par la loyauté à un programme, mais par la contribution active à un projet de société commun, inclusif, équitable et porteur d’avenir. Dans ce cadre, la jeunesse ne doit plus être vue comme un problème à encadrer mais comme un acteur central, porteur d’énergie, d’idées neuves, et capable d’innover dans tous les domaines.
Enfin, Baraka replace cette vision dans une ambition plus large : faire du Maroc une nation exemplaire sur le plan international, un pays leader dans la mise en œuvre de politiques sociales justes, de réformes économiques efficaces, et d’une gouvernance responsable. Pour lui, l’objectif final de la politique n’est autre que celui-ci : améliorer la vie de tous les Marocains, sans exclusion, en garantissant que les fruits du développement bénéficient à toutes les couches de la population, des jeunes aux aînés, des zones urbaines aux territoires marginalisés.












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