Analyse de l'Indice des Prix à la Consommation (IPC) au mois d'août 2024
Le Haut Commissariat au Plan (HCP) a publié son rapport pour le mois d'août 2024 concernant l'Indice des Prix à la Consommation (IPC). Celui-ci a connu une hausse de 0,8 % par rapport au mois précédent. Cette augmentation résulte principalement de la forte hausse des prix des produits alimentaires, qui ont grimpé de 1,8 %, tandis que les produits non alimentaires sont restés stables.
Les détails révèlent que les prix des produits alimentaires ont enregistré des hausses importantes dans plusieurs catégories. Les « viandes » ont vu leur prix augmenter de 6,8 %, les « lait, fromage et œufs » de 3,5 %, les « poissons et fruits de mer » de 2,8 % et les « légumes » de 2,4 %. Les augmentations plus faibles concernent le « café, thé et cacao » avec 0,3 % et les « huiles et graisses » avec 0,1 %. En revanche, une baisse notable a été observée pour les fruits, dont les prix ont chuté de 4,0 %.
Dans le secteur des produits non alimentaires, une baisse significative de 1,8 % a été relevée dans les prix des carburants, tandis que les autres catégories sont restées stables.
Sur le plan géographique, les plus fortes hausses de l'IPC ont été observées à Al-Hoceima (+2,8 %), suivie de Safi (+1,5 %), Errachidia (+1,2 %), Agadir, Dakhla, Settat et Beni-Mellal (+1,1 %). Les villes d'Oujda ont enregistré une hausse de 1,0 %, Fès et Tétouan 0,9 %, Kénitra 0,8 %, Meknès 0,7 %, et Casablanca, Marrakech et Rabat ont connu des hausses plus modérées de 0,6 %. Tanger et Laâyoune ont enregistré des augmentations plus faibles de 0,4 %.
Sur une base annuelle, comparé à août 2023, l’IPC a augmenté de 1,7 %. Cette hausse est principalement due à l'augmentation de 2,0 % des prix des produits alimentaires et de 1,4 % pour les produits non alimentaires. Parmi les produits non alimentaires, la catégorie « logement, eau, gaz, électricité et autres combustibles » a enregistré une hausse marquante de 3,7 %, tandis que les prix liés à la « santé » ont diminué de 1,4 %.
L'inflation sous-jacente, qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics, a augmenté de 0,3 % par rapport à juillet 2024 et de 2,6 % par rapport à août 2023, ce qui témoigne de la persistance des pressions inflationnistes structurelles.
Les détails révèlent que les prix des produits alimentaires ont enregistré des hausses importantes dans plusieurs catégories. Les « viandes » ont vu leur prix augmenter de 6,8 %, les « lait, fromage et œufs » de 3,5 %, les « poissons et fruits de mer » de 2,8 % et les « légumes » de 2,4 %. Les augmentations plus faibles concernent le « café, thé et cacao » avec 0,3 % et les « huiles et graisses » avec 0,1 %. En revanche, une baisse notable a été observée pour les fruits, dont les prix ont chuté de 4,0 %.
Dans le secteur des produits non alimentaires, une baisse significative de 1,8 % a été relevée dans les prix des carburants, tandis que les autres catégories sont restées stables.
Sur le plan géographique, les plus fortes hausses de l'IPC ont été observées à Al-Hoceima (+2,8 %), suivie de Safi (+1,5 %), Errachidia (+1,2 %), Agadir, Dakhla, Settat et Beni-Mellal (+1,1 %). Les villes d'Oujda ont enregistré une hausse de 1,0 %, Fès et Tétouan 0,9 %, Kénitra 0,8 %, Meknès 0,7 %, et Casablanca, Marrakech et Rabat ont connu des hausses plus modérées de 0,6 %. Tanger et Laâyoune ont enregistré des augmentations plus faibles de 0,4 %.
Sur une base annuelle, comparé à août 2023, l’IPC a augmenté de 1,7 %. Cette hausse est principalement due à l'augmentation de 2,0 % des prix des produits alimentaires et de 1,4 % pour les produits non alimentaires. Parmi les produits non alimentaires, la catégorie « logement, eau, gaz, électricité et autres combustibles » a enregistré une hausse marquante de 3,7 %, tandis que les prix liés à la « santé » ont diminué de 1,4 %.
L'inflation sous-jacente, qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics, a augmenté de 0,3 % par rapport à juillet 2024 et de 2,6 % par rapport à août 2023, ce qui témoigne de la persistance des pressions inflationnistes structurelles.