Par Dr Anwar CHERKAOUI avec le concours du Dr Bahae BENAMAR, spécialiste en biologie de la reproduction
Grâce aux progrès de la biologie de la reproduction, préserver la capacité à devenir parent n’est plus un rêve inaccessible.
Dans le tumulte des diagnostics graves, au moment où l’on parle chimiothérapie, radiothérapie, chirurgie ou traitement hormonal, une question revient comme un murmure discret, mais chargé d'espoir : « _Pourrai-je encore avoir un enfant après tout cela ? »_
Autrefois reléguée au second plan face à l'urgence vitale, la préservation de la fertilité s’impose désormais comme un droit et une priorité.
Et la bonne nouvelle, c’est que la médecine a les moyens d’y répondre.
Les traitements qui menacent la fertilité
Tous les traitements ne sont pas neutres pour l’appareil reproducteur.
La chimiothérapie, en particulier les agents alkylants, est connue pour sa toxicité sur les ovaires et les testicules.
La radiothérapie, notamment lorsqu’elle cible la région pelvienne, peut aussi réduire ou anéantir les capacités reproductives.
À cela s’ajoutent certaines chirurgies radicales, les hormonothérapies longues, voire certaines thérapies innovantes dont les effets à long terme sont encore méconnus.
La biologie de la reproduction en première ligne
Heureusement, la médecine a su anticiper.
La biologie de la reproduction est aujourd’hui un pilier de l’accompagnement thérapeutique.
Elle offre un arsenal de techniques pour sauver l’avenir parental, même quand le temps presse.
Chez la femme, on peut désormais congeler des ovocytes ou des embryons, et même prélever et conserver du tissu ovarien – une technique précieuse chez les jeunes filles prépubères ou en cas d’urgence absolue.
Chez l’homme, le recueil et la congélation de sperme sont simples, rapides et efficaces.
Pour les garçons trop jeunes, le tissu testiculaire peut aussi être préservé, ouvrant la voie à de futures solutions.
Une démarche pluridisciplinaire et bienveillante
Derrière cette avancée, une organisation médicale rigoureuse se met en place.
Consultation spécialisée, prise de décision rapide, avec potentiellement un accompagnement psychologique, tout est pensé pour que cette démarche, parfois complexe émotionnellement, soit vécue sereinement.
Dans le tumulte des diagnostics graves, au moment où l’on parle chimiothérapie, radiothérapie, chirurgie ou traitement hormonal, une question revient comme un murmure discret, mais chargé d'espoir : « _Pourrai-je encore avoir un enfant après tout cela ? »_
Autrefois reléguée au second plan face à l'urgence vitale, la préservation de la fertilité s’impose désormais comme un droit et une priorité.
Et la bonne nouvelle, c’est que la médecine a les moyens d’y répondre.
Les traitements qui menacent la fertilité
Tous les traitements ne sont pas neutres pour l’appareil reproducteur.
La chimiothérapie, en particulier les agents alkylants, est connue pour sa toxicité sur les ovaires et les testicules.
La radiothérapie, notamment lorsqu’elle cible la région pelvienne, peut aussi réduire ou anéantir les capacités reproductives.
À cela s’ajoutent certaines chirurgies radicales, les hormonothérapies longues, voire certaines thérapies innovantes dont les effets à long terme sont encore méconnus.
La biologie de la reproduction en première ligne
Heureusement, la médecine a su anticiper.
La biologie de la reproduction est aujourd’hui un pilier de l’accompagnement thérapeutique.
Elle offre un arsenal de techniques pour sauver l’avenir parental, même quand le temps presse.
Chez la femme, on peut désormais congeler des ovocytes ou des embryons, et même prélever et conserver du tissu ovarien – une technique précieuse chez les jeunes filles prépubères ou en cas d’urgence absolue.
Chez l’homme, le recueil et la congélation de sperme sont simples, rapides et efficaces.
Pour les garçons trop jeunes, le tissu testiculaire peut aussi être préservé, ouvrant la voie à de futures solutions.
Une démarche pluridisciplinaire et bienveillante
Derrière cette avancée, une organisation médicale rigoureuse se met en place.
Consultation spécialisée, prise de décision rapide, avec potentiellement un accompagnement psychologique, tout est pensé pour que cette démarche, parfois complexe émotionnellement, soit vécue sereinement.
Les médecins de toutes spécialités sont de plus en plus sensibilisés.
Dès qu’un traitement potentiellement stérilisant est envisagé, une information claire doit être donnée au patient.
Préserver l’avenir, même dans l’épreuve
La préservation de la fertilité n’est plus un luxe, mais un acte de confiance en l’avenir.
Une manière pour la médecine de dire à chaque patient : « _Vous avez encore des projets, nous les respectons. »_
Alors que les taux de guérison progressent, penser à l’après devient une nécessité.
Grâce aux biologistes de la reproduction, à l’engagement des soignants et à la mobilisation des structures de santé, ce rêve de parentalité peut rester vivant, même dans les périodes les plus sombres.
Un cancer peut bouleverser une vie.
Mais grâce aux progrès médicaux, il ne condamne plus à renoncer à la vie.
La fertilité, aujourd’hui, se préserve. Et demain, elle se célèbre.
Et Cela grâce aux progrès de la biologie de la reproduction, précise Dr BAHAE BENAMAR
Dès qu’un traitement potentiellement stérilisant est envisagé, une information claire doit être donnée au patient.
Préserver l’avenir, même dans l’épreuve
La préservation de la fertilité n’est plus un luxe, mais un acte de confiance en l’avenir.
Une manière pour la médecine de dire à chaque patient : « _Vous avez encore des projets, nous les respectons. »_
Alors que les taux de guérison progressent, penser à l’après devient une nécessité.
Grâce aux biologistes de la reproduction, à l’engagement des soignants et à la mobilisation des structures de santé, ce rêve de parentalité peut rester vivant, même dans les périodes les plus sombres.
Un cancer peut bouleverser une vie.
Mais grâce aux progrès médicaux, il ne condamne plus à renoncer à la vie.
La fertilité, aujourd’hui, se préserve. Et demain, elle se célèbre.
Et Cela grâce aux progrès de la biologie de la reproduction, précise Dr BAHAE BENAMAR












L'accueil


















